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- L'Italie transmet la cuillère de bois au Pays de Galles
Au terme d'un match qu'ils auront dominé, les italiens échappent à la cuillère de bois après sa victoire contre le Pays de Galles à Cardiff. Le XV du Poireau finit dernier du Tournoi des 6 Nations pour la première fois depuis 2003. Les italiens prennent le match du bon bout en imposant tout de suite leur rythme sur la rencontre. Ils gagnent leur duel et font mal à l'impact aux gallois qui à l'inverse sont toujours sur le reculoir en attaque. Ils sont également beaucoup pénalisé et permet à Garbisi d'inscrire 6 points après leurs fautes en première mi-temps. Le jeu italien est bien huilé et aboutit à l'essai de Ioane (20e) après un service dans l'espace de la part de Garbisi à 5 mètres de la ligne galloise. Ce premier acte s'achève sur le score de 11-0, compteur vierge pour des gallois inoffensifs. En deuxième période les joueurs du poireau sont cueillis à froid avec l'essai de Pani d'entrée de jeu (46e). Mais les intentions galloises sont différentes sous la houlette de Grady qui avance constamment. Leurs assauts sont récompensés par l'essai de Dee (64e) mais leur indiscipline perdure et les grattages successifs des italiens (71e et 73e) permettent aux transalpins de prendre plus de deux essais transformés d'avance. Le baroud d'honneur des hommes de Warren Gatland n'arrive que trop tard avec les essais de Rowlands (79e) et Grady (80e+2) en toute fin de match. Les joueurs de la Squadra Azura confirment leur superbe tournoi avec cette victoire en terrain hostile sur le score de 21-24.
- Jasper Philipsen monumental sur Milan - San Remo
Vainqueur au sprint de l'édition 2024 de Milan - San Remo, Jasper Philipsen remporte le premier Monument de sa carrière. Consacré meilleur sprinteur du monde sur le dernier Tour de France, il a conquis cette victoire en résistant aux attaques de Tadej Pogacar dans le Poggio. Huit ans plus tard, la victoire de Milan - San Remo revient enfin à un sprinteur. Après le succès d'Arnaud Démare en 2016, les puncheurs et victoires en solitaire avaient remplacé le classique emballage final sur la Via Roma. Qui d'autre que Jasper Philipsen, meilleur finisseur au monde, pour rendre aux sprinteurs le Monument le plus plat de la saison ? Le belge a devancé sur la ligne Michael Matthews pour quelques centimètres et Tadej Pogacar, troisième. Jasper Philipsen remporte l'édition la plus rapide de l'histoire en 6 heures, 15 minutes et 44 secondes avec une moyenne de 45.99 kilomètres par heure. Tadej Pogacar était au rendez-vous, pas son équipe Entouré par une véritable armada, Tadej Pogacar arrivait sur la course avec l'ambition de durcir fortement la course dans les dernières ascensions : les mythiques Cipressa et Poggio. Très décevant, l'équipe UAE Team Emirates n'a pas été à la hauteur des espoirs placés en son leader, rapidement esseulé avec un seul coéquipier. Tim Wellens a rendu les armes à 1 kilomètre du sommet du Poggio, trop loin pour permettre à Tadej Pogacar de lâcher toutes ses forces dans une attaque tranchante. Le Slovène s'y est pris à deux fois dans l'ascension finale mais il n'a pas pu creuser le trou sur tous ses adversaires, suivi jusqu'au bout par Mathieu Van der Poel. Le facteur déterminant : Mathieu Van der Poel Le principal acteur de la victoire de Jasper Philipsen est son propre coéquipier Mathieu Van der Poel. Alors qu'il pouvait partir en duo avec Tadej Pogacar à la conquête de son deuxième Milan - San Remo consécutif, le tenant du titre a sacrifié sa course en préférant attendre son sprinteur Jasper Philipsen qui s'était accroché dans un groupe de poursuivants. Le champion du Monde a ensuite cadenassé le final de cette Primavera en empêchant les attaquants de prendre une avance décisive. Matej Mohoric, Matteo Sobrero et Thomas Pidcock se sont cassés les dents sur le travail du Néerlandais de l'équipe Alpecin - Deceuninck. L'un des meilleurs coureurs de Classique confirme une nouvelle fois qu'il est capable de se dévouer pour ses coéquipiers formant une paire presque imbattable avec Jasper Philipsen.
- Matteo Manassero, le phœnix qui renaît de ses cendres
Ce dimanche 10 mars, en Afrique du Sud, Matteo Manassero a tenu bon dans un dernier tour marqué par une interruption de jeu à cause des orages. Grâce à 4 birdies de suite pour clôturer son tournoi, l’Italien remporte le Jonsson Workwear Open, 11 ans après sa dernière victoire sur le DP World Tour. C’est un retour triomphal au plus haut niveau pour Matteo Manassero. Quelques mois après avoir regagné sa carte via le Challenge Tour, l’Italien remporte le Jonsson Workwear Open en Afrique du Sud au terme d’une journée pleine de suspense. Un démarrage poussif Parti avec un coup d’avance ce matin, Manassero démarre lentement (3 birdies et 1 bogey en 12 trous), laissant planer le suspense et l’incertitude dans ce dernier tour. Derrière lui, certains de ses poursuivants commencent à appuyer sur l’accélérateur pour tenter de recoller à l’Italien. C’est notamment le cas d’Oliver Bekker qui, grâce à son birdie du 13, rejoint la tête à -22. Il est suivi quelques minutes plus tard par l’Anglais Jordan Smith qui rentre une magnifique approche au 14 pour passer lui aussi à cette marque de -22. Dans le même temps, le Sud-Africain Thriston Lawrence, parti avec 6 coups de retard avant la dernière journée, poste un score exceptionnel de 63 (-9), ponctué par 2 eagles et 6 birdies, pour inscrire un -23 au clubhouse. Une interruption de jeu Pas déboussolé par les remontées de ses adversaires, Matteo Manassero décide de se montrer plus agressif sur sa fin de partie et cela paye. Avec des birdies aux 15 et 16, le golfeur de 30 ans repasse seul leader de l’épreuve. Mais, contre toute attente, la météo se dégrade sur le parcours de Glendower et les risques d’orages forcent les organisateurs à interrompre le jeu avec moins de 2 trous à jouer pour l’Italien. Les joueurs sont ramenés aux vestiaires en attendant que le temps s’améliore et 2h27 plus tard, le jeu reprend dans l’obscurité pour assister à la conclusion du Jonsson Workwear Open. Une fin rêvée pour Manassero Avec un point d’avance, Matteo Manassero n’a plus qu’à réaliser deux pars pour remporter le tournoi. Au panache, le nouveau quintuple vainqueur sur le Tour fait birdie sur le 17 avant de finir en beauté sur le green du 18 en rentrant un putt de 4 mètres pour s’imposer finalement avec trois coups d’avance : « Même en arrivant au 18 avec une bonne mise en jeu, j’avais encore du travail. Le golf est un sport très difficile donc je suis juste très content de tenir ce trophée entre mes mains maintenant », exprime-t-il après sa partie au micro du DP World Tour. 11 ans après son dernier titre sur le circuit principal au BMW PGA Championship 2013, Manassero est de retour dans le cercle des vainqueurs après avoir complètement perdu son niveau de jeu qui lui avait permis d’être un des plus grands espoirs du golf européen de sa génération : « C’est sans aucun doute le plus beau jour de ma vie sur un parcours de golf. Ça a vraiment été un parcours assez fou ces deux dernières années mais je savais que j’étais sur la bonne voie », conclut-il. Grâce à cette victoire, Matteo Manassero passe au 13e rang de la Race to Dubai et termine dans le top 10 de l'International Swing. Il assure également ses droits de jeu sur le circuit jusqu'à la fin de l'année 2026.
- 6 Nations : des bleus retrouvés à Cardiff
Après un début de tournoi très compliqué, les bleus se relancent face aux Pays de Galles à Cardiff avec une équipe remaniée. Les deux équipes ont offert un match ouvert en envoyant du jeu de toute part qui s'achève sur le score de 24-45 pour le XV de France. Enfin ! Les bleus nous ont enfin fait plaisir dans un Principality Stadium au toit fermé. Dans le premier acte, français et gallois se sont rendus coup pour coup avec notamment quatre essais en vingt minutes entre la 9e et la 29e minute. Une mi-temps qui est marqué par une discipline rare pour les deux équipes qui a permis au jeu de se lancer et aux acteurs de se faire plaisir. Elle se conclut sur un score disputé de 17-20 en faveur des bleus. Fabien Galthié, qui depuis le début du tournoi maintenait une même équipe malgré des résultats décevant, a décidé de faire de nombreux changements qui se sont révélés payant. Titulariser les deux revenants toulousains Flament et Méafou a fait du bien au pack français. Un 8 de devant français qui a largement dominé le 8 gallois et a permis de lâché les fauves derrière avec les néo sélectionnés Depoortère et Barré. Des finisseurs en forme En deuxième période c'est la démonstration française en passant la majeur partie du temps dans les 22 gallois, avec à la clé trois essais contre un seul pour les joueurs du poireau. Le banc a aussi fait beaucoup de bien : LE remplaçant de luxe, comme le dit Galthié, Romain Taoffifenua, a apporté toute sa puissance et s'est offert un essai après un contre sur Gareth Davies. Un autre remplaçant bien en vue, Georges-Henri Colombes, a lui aussi inscrit un essai pour sa première avec le maillot bleu sur les épaules. Et comment ne pas parler de la performance de Nolan Le Garrec qui a amené toute sa fougue pendant 70 minutes. Une performance global qui fait plaisir de la part de toute l'équipe. A confirmé tout de même à Lyon la semaine prochaine face à des anglais qui sortent d'une victoire contre les irlandais.
- 6 Nations : deux premiers matchs haletants
En ce samedi de la 4e journée du Tournoi des 6 Nations, les résultats des matchs du jour ont surpris. L'Italie-Écosse à Rome et l'Angleterre-Irlande à Twickenham ont offert un spectacle impressionnant et des issues alléchantes. La journée commence dès 15 heures avec une opposition entre l'Italie et l'Ecosse au Stadio Olimpico de Rome. On pensait que cette rencontre serait une formalité pour les écossais face à des italiens habitués à jouer les dernières places du tournoi. Il semble cependant que les progrès observés ces dernières années et en particulier ces derniers matchs aient aboutit. Car les transalpins ont décrochés une victoire valeureuse et pleine de caractères face aux écossais. Sur le score de 31 à 29, ils décrochent une première victoire dans le tournoi depuis deux ans, après avoir obtenu un nul mérité face à la France à Villeneuve-d'Ascq. Ils rencontreront les gallois la semaine prochaine à Cardiff pour, somme toute logique, départager la cuillère de bois 2024. Un impressionnant Angleterre-Irlande (23-22) Au terme d'une rencontre pleine d'intensité, les anglais privent les irlandais d'un deuxième grand chelem de suite. La victoire finale ne fait cependant aucun doute pour eux tant leur domination est impressionnante, ils n'auront qu'à assurer face à des écossais en perte de confiance pour conserver leur titre. Mais leur rêve de grand chelem s'est envolé au terme d'une rencontre d'une intensité folle. Les irlandais ont fait preuve d'un grand réalisme mais se sont fait surprendre par la fougue anglaise. Les joueurs de la rose se sont, sur chaque action, donnés à 200 % à l'image d'un Ben Earl au four et au moulin toute la soirée. Ils ont réussi à défaire leur adversaire sur un ultime drop de Marcus Smith à la toute fin.
- Arnold Palmer Invitational : six joueurs en tête à -7, Pavon de retour aux affaires
Au terme du deuxième tour de l’Arnold Palmer Invitational, six hommes sont aux commandes de l’épreuve à -7, dont le numéro un mondial Scottie Scheffler. Matthieu Pavon a rendu une des meilleures cartes de la journée et se retrouve 23e du tournoi avant le week-end. Ce vendredi 8 mars, six joueurs ont pris la tête de l’Arnold Palmer Invitational après 36 trous. Dans ce groupe, on retrouve notamment le numéro un mondial Scottie Scheffler qui a réalisé le 2e meilleur score du jour avec un 67 (-5). Après avoir changé de putter en début de semaine, le golfeur Américain semble retrouver des couleurs sur les greens (0,537 points gagnés sur le champ dans ce secteur de jeu vendredi). A -7 total après deux tours, il se retrouve notamment aux côtés des deux derniers vainqueurs des tournois estampillés « Signature Events », Wyndham Clark et Hideki Matsuyama. Will Zalatoris, qui cherche à gagner pour la 2e fois sur le PGA Tour, est en chasse à -6, seulement un coup derrière la tête. Matthieu Pavon se reprend Au lendemain de son premier score au-dessus du par cette saison, Matthieu Pavon a remis les pendules à l’heure ce vendredi en réalisant la 5e meilleure carte de la journée, un 68 (-4). Touché par des problèmes familiaux depuis le début de l'épreuve floridienne, le Français rend une carte ponctuée par 5 birdies contre un seul bogey et grimpe de la 57e place à la 23e place après deux jours. Il s’élancera samedi à 17h10 heure française à -2 total au côté d’Éric Cole, soit 5 coups derrière les leaders du tournoi.
- Matthieu Pavon réalise son plus mauvais score de l’année
Dans ce 1er tour du Arnold Palmer Invitational, Matthieu Pavon a rendu sa première carte au-dessus du par de la saison. Avec un 74 (+2), il casse sa série de 19 parties sous ou dans le par et se retrouve provisoirement 54e de l’épreuve floridienne. C’est la fin d’un très beau record pour Matthieu Pavon après ce premier tour de l’Arnold Palmer Invitational. Pour ce 3e Signature Event de l’année, le Français signe une carte de 74 (+2) pour entamer sa semaine en Floride. Pourtant bien parti avec deux birdies sur ses 4 premiers trous, le golfeur tricolore n’a pas réussi à dompter ce difficile parcours. Ses deux balles dans l’eau au 6 et au 11 lui ont notamment coûté deux bogeys alors qu’il était en parfaite position sur le fairways sur ces deux trous. Dans le par après 11 trous, Pavon restait toujours à distance raisonnable de la tête qui est à -5. Inefficace sur les greens tortueux du parcours de Bay Hill, le joueur de 31 ans commet deux nouvelles erreurs sur les 13 et 18 pour enregistrer finalement son seul score au-dessus du par cette saison sur le PGA Tour. Il est actuellement à la 54e place en attendant que les joueurs toujours sur le parcours terminent leurs parties. Le Français, qui a annoncé qu’il jouera à Singapour sur le DP World Tour fin mars, tentera de recoller à Matsuyama et Lower, tous deux provisoirement aux commandes, demain lors de son deuxième tour à 19h30 heure française. Il faudra réaliser une belle carte pour espérer passer le cut et éviter son premier week-end off de l’année !
- Qiddiya 2027, le projet fou de circuit de Formule 1 proposé par l’Arabie saoudite
Le projet de circuit de Formule 1 saoudien pour 2027 a été présenté ce mardi 5 mars. Située dans une ville artificielle au beau milieu du désert, la piste dénote par son côté spectaculaire et démesuré avec un premier virage élevé à 70 mètres de hauteur. Bien qu’impressionnant, le circuit fait déjà face à de nombreuses critiques. À quelques jours du Grand Prix de F1 à Jeddah, l’Arabie Saoudite a présenté un nouveau projet de circuit spectaculaire qui pourrait rejoindre le calendrier en 2027. Dans un milieu urbain, le tracé proposé se situe dans la ville de Qiddiya, un pôle de divertissement créé de toute pièce dans le désert saoudien. Un tracé hors du commun Conçu par l’ancien pilote Alexander Wurz et l’architecte Hermann Tilke, le circuit a été imaginé comme étant le plus fou et spectaculaire sportivement et extra-sportivement. Long de 7,004 kilomètres, le tracé comporte 21 virages, dont un qui attire tous les regards. La première courbe, surnommée “La Lame”, se trouverait à 70 mètres au-dessus du sol, l’équivalent d’un immeuble de 20 étages. Avec un fort dénivelé de 108 mètres sur un tour, « les passionnés de sport automobile vivront l’une des expériences de course les plus aériennes et les plus immersives au monde”, a déclaré avec enthousiasme Martin Whitaker, président exécutif de Saudi Motorsport Company. Une place évidente pour les critiques Inscrite dans le projet de ville artificielle Qiddiya, la proposition saoudienne a logiquement été décriée pour son impact écologique et sportif. Si la candidature est validée, ce circuit à couper le souffle serait construit à partir de rien en seulement 3 ans, un coût environnemental indéniable. L’arrivée d’un nouveau Grand Prix en Arabie Saoudite s’inscrirait d’autant plus sportivement dans la fuite de la Formule 1 hors d’Europe en faveur de destinations plus attractives comme les États-Unis et ses 3 courses en 2024 ou le Moyen-Orient qui en accueille 4 cette saison.
- Comme une évidence, Verstappen remporte le premier GP de la saison
Le premier Grand Prix de Formule 1 2024 a des airs de 2023. Triple champion du Monde en titre, Max Verstappen a très largement dominé la course en s'envolant dès les premiers tours. Parti depuis la pôle position, le Néerlandais n'a jamais cédé la première place, s'imposant finalement devant son coéquipier Sergio Perez. Comment mieux démarrer la saison 2024 de F1 que par un doublé de Red Bull ? Arrivée à Bahreïn, il y a 10 jours, avec un nouveau concept aérodynamique révolutionnaire, l'écurie autrichienne n'a pas laissé planer le suspense très longtemps sur cette nouvelle année de Formule 1. Pour le premier Grand Prix de la saison, exceptionnellement tenu un samedi, Max Verstappen a affirmé sa domination en faisant cavalier seul, jamais réellement inquiété. Le Classement Pas d'inquiétude pour Red Bull L'écurie championne du Monde connait la première course de rêve. Arrivée avec une nouvelle voiture qui offre beaucoup plus de possibilités de développement, Red Bull commence tout de même la saison au sommet de la hiérarchie des performances. La pôle position, tous les tours menés, la victoire et le meilleur tour pour Verstappen qui réalise le Grand Chelem s'ajoutent à la 2e place de Sergio Perez qui offre à l'équipe son premier doublé de la saison. Parti 5e sur la grille, le pilote mexicain a du se défaire de Leclerc, Russell et Sainz puis a simplement déroulé à partir de la mi-course. Sainz surprenant meneur de Ferrari Charles Leclerc, parti 2e, avait pris le dessus, comme en 2022 et 2023, en qualifications sur son coéquipier Carlos Sainz, 4e. Cependant, c'est bien le pilote espagnol qui est monté sur le podium à l'issue des 57 tours du circuit de Sakhir. Contrairement au Monégasque qui a eu du mal à faire fonctionner sa Ferrari en début de Grand Prix, Carlos Sainz a bénéficié d'un très bon rythme de course. S'installant sur la 3e marche du podium après avoir dépassé Leclerc et Russell, le pilote Ferrari a constitué la seule menace pour Red Bull en s'approchant à quelques secondes de Sergio Perez en fin de course. Carlos Sainz sait déjà qu'il ne roulera plus chez la Scuderia en 2025, remplacé par Lewis Hamilton, et il devra montrer en 2024 l'étendue de ses capacités avant le début de la silly-season. Pas de miracle pour les Français On savait l'Alpine peu à l'aise à l'issue des essais de présaison mais l'écurie française est tombée de haut au cours de cette première semaine de course. Derniers des qualifications, Esteban Ocon et Pierre Gasly, respectivement 19e et 20e, espéraient une remontée ce samedi mais celle-ci n'a jamais eu lieu. Aidés par les malheurs de leurs concurrents Valtteri Bottas et Logan Sargeant, dernier, les Alpines n'ont pu remonter que deux places malgré quelques batailles en piste qui ont encore accentué l'impression de faiblesse qui entoure cette monoplace.
- Ligue 1 Uber Eats : Aucun vainqueur entre l’AS Monaco et le Paris Saint-Germain
Dans le choc de la 24ᵉ journée de Ligue 1 Uber Eats, les Parisiens et les Monégasques se quittent sur un match nul 0-0. Le club de la capitale doit d’ores et déjà se concentrer sur sa prochaine rencontre en Ligue des champions. Les Monégasques peuvent avoir des regrets, mais ont buté sur un très bon Donnarumma, qui a été impérial dans ses cages. Malgré de nombreuses tentatives, les Parisiens sont tombés sur un très bon Majecki en seconde période. L'ASM reste 3ᵉ du championnat avec ce match nul. Paris prend provisoirement 12 points d'avance sur son dauphin, Brest. Le Paris Saint-Germain est invaincu depuis 19 matchs en Ligue 1 Uber Eats. Sa dernière plus longue série d'invincibilités datant du 3 avril 2022 au 28 décembre 2022, une série de 25 matchs. Un match important en Espagne Pas de chance pour le club de la capitale. À quelques jours de leur déplacement en Espagne, Asensio est sorti sur blessure face à L’AS Monaco en fin de première mi-temps. Pour le remplacer à son poste, les Parisiens peuvent compter sur Lee Kang-in au milieu de terrain. Une sortie qui fait débat, celle de Mbappé à la mi-temps, remplacé par Kolo-Muani. Il a fait des selfies avec les supporters du PSG, puis il est parti rejoindre sa famille dans les tribunes. Avec un Donnarumma qui était rassurant ce soir, les Parisiens peuvent compter sur lui face à la Real Sociedad ce mardi 5 mars. Le Paris Saint-Germain se déplace en Espagne en ayant un avantage, car ils ont remporté le match aller à Paris sur le score de 2-0.
- Rugby à 7 : les Bleus sacrés à Los Angeles !
Pour la deuxième d’Antoine Dupont sur le circuit, les bleus ont réalisé un tournoi exceptionnel à Los Angeles. Les femmes ont eu plus de mal en étant victime d’elles-mêmes. L’occasion de faire un récap du week-end américain de nos français. Les féminines se sabotent Leur tournoi commence plutôt bien avec 2 victoires en 3 matchs en phase de poule. Leur seule défaite est d’une courte tête contre l’Australie, qu’elles avaient rondement battues la semaine précédente à Vancouver en demi-finale. Arrivée en quart tout se complique pour les filles, en concédant 3 cartons jaunes, elles ne peuvent se montrer en mesure de gagner contre des canadiennes qui n’en demandaient pas tant (19-28). Pas de nouvelles médailles pour elles, qui se contentent d’une 5e place obtenue de manière autoritaire en explosant les sud-africaines (53-0). Les Bleus au sommet Après leur superbe médaille de bronze de la semaine passée, les garçons se retrouvaient ce week-end sur la côte ouest américaine avec une nouvelle envie de performé. Mais cette fois-ci, ils visaient plus haut. Et pour cela, ils s'en sont donnés les moyens. Avec 2 victoires en 3 matchs en poule, comme leurs homologues féminines, les garçons se qualifient en quarts. Dans un match accroché, il se défont de l’équipe locale sur le maigre score de 14 à 0 mais suffisant pour s’envoler en demi. Ils y retrouvent leur rival irlandais, 2e du classement général et qui viennent de défaire les redoutables argentins. Le match commence mal pour les bleus qui encaissent un essai d’entrée, mais la réaction est immédiate et ils distancent rapidement leurs adversaires. Cependant, ces valeureux irlandais reviennent au score et marque un essai après la fin du temps réglementaire, ils ont la transformation de l’égalisation entre les mains. Cette dernière est manquée ce qui envoie les bleus en finale (24-26). Pour s’adjuger le titre, ils font face aux britanniques, qu’ils avaient déjà défait en phase de poule. Dans un match à sens unique (21-0), les garçons s’adjugent le titre à Los Angeles et remportent une étape du circuit 19 ans après. Pour Antoine Dupont c’est un pari réussi, aussitôt débarqué au Seven il glane une médaille d'or.
- 40 000 points : Lebron James encore plus dans l'histoire de la NBA
Le 8 février 2023, Lebron James marquait 38 points face aux Thunder d’Oklahoma City dépassant ainsi le record de Kareem-Abdul Jabbar du plus grand nombre de points inscrits en saison régulière dans l’histoire de la NBA. Hier soir, face aux Denver Nuggets, Lebron « The King » James a établi une nouvelle marque historique. Historique, impensable, démesuré… Voici ce que l’on pensait lorsque, le 8 février 2023, Lebron James dépassait les 38 387 points de Kareem Abdul-Jabbar. Depuis, « The King » continue son petit bonhomme de chemin dans la meilleure ligue de basket-ball au monde. Au terme d’une longévité incroyable, 21 ans après son entrée dans la ligue, Lebron a terrorisé les défenses adverses jusqu’à franchir, hier soir, la mythique barre des 40 000 points marqués en saison régulière. Un nouvel exploit majuscule pour l’homme aux quatre titres de champions. De quoi ajouter un argument en plus dans cet interminable débat du G.O.A.T. (Greatest Player of All Time, soit le « meilleur joueur de l’histoire »).