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- Manchester City - Réal Madrid : les Madrilènes éliminent le tenant du titre
Les Madrilènes se sont imposés quatre buts à trois lors des séances de tirs au but face aux Citizens, mercredi soir, à l'Etihad Stadium en quarts de finale retour de la compétition. Les joueurs du Réal Madrid vont affronter le Bayern Munich en demi-finale de la Ligue des champions. Au match aller, les deux clubs se sont quittés sur un score nul (3-3). Erling Haaland étant très discret en Espagne, il est attendu pour cette grosse affiche. Ce n’est pas la première fois que ces deux équipes se rencontrent, quatre fois en quatre ans, lors des phases à élimination directe de la Ligue des champions. Dès le début du match, les deux équipes font jeu égal, mais à la 12ᵉ minute, Rodrigo inscrit le premier but de cette rencontre et déstabilise les Citizens. Tout au long de la première mi-temps, les joueurs de Manchester City ont des occasions, mais ne trouvent pas le chemin des filets. Erling Haaland essaye de jouer son jeu face à un Réal Madrid avec un bloc bac, il a transmis des ballons avec sa tête et il a joué en pivot, mais il n’arrivera pas à marquer pendant ce match. Avec 33 tirs à 8, beaucoup de corners et une large possession, les Citizens arriveront à trouver le chemin des filets avec un but de Kevin De Bruyne à la 76ᵉ minute. Le Réal Madrid a défendu toute la seconde mi-temps et les joueurs ont parcouru de nombreux kilomètres. À l’image de Jude Bellingham qui a parcouru 15 km tout au long du match. À la fin du temps réglementaire, le score est de 1-1. Pendant les prolongations, le score n'évoluera pas et il y aura une séance de tirs au but pour déterminer qui ira en demi-finale de la Ligue des champions face au Bayern Munich. Avec un grand Andriy Lunin, qui a fait deux parades lors des tirs au but, les Madrilènes inscrivent quatre buts et éliminent le tenant du titre en Angleterre.
- À J-100, Laure Manaudou allume la Flamme olympique à Florange
À 100 jours du début des Jeux Olympiques de Paris 2024, la championne de natation Laure Manaudou était présente à Florange pour allumer symboliquement la flamme sur le sol français. Dans la ville mosellane, des centaines de jeunes ont eu la chance de rencontrer la capitaine des porteurs de la flamme. D'Olympie à Florange, Laure Manaudou enchaîne les rendez-vous symboliques sur le parcours de la flamme olympique. En compagnie du maire de la ville, Rémy Dick, l'ancienne nageuse a allumé, comme un symbole, le brûleur d'une montgolfière sur le parvis de la mairie florangeoise. À quelques kilomètres des usines ayant fabriqué la torche des JO de Paris, des centaines de curieux ont assisté à l'événement. Parmi eux, de nombreux jeunes ont pu obtenir dédicaces et photos avec Laure Manaudou. "C'est une belle surprise de voir autant de monde", a-t-elle confié, "surtout les jeunes qui n'étaient pourtant pas tous nés lors de [son] titre aux Jeux Olympiques d'Athènes en 2004". La championne de natation les a par ailleurs encouragés à "vivre leur rêve, en comprenant que c'est possible si j'ai réussi". Elle a ensuite pu partager son expérience et quelques anecdotes sur sa carrière au cours d'une conférence devant quelques 300 personnes.
- FC Barcelone - PSG : Une remontée en Catalogne
Les Parisiens se sont imposés quatre buts à un face au Barça, mardi soir, au stade olympique Lluís Companys, en quarts de finale retour de la compétition. Les joueurs de la capitale vont affronter un adversaire déjà rencontré lors des phases de poule, le Borussia Dortmund, en demi-finale de la Ligue des champions. Lors de cette rencontre, le FC Barcelone était dominé par le Paris Saint-Germain. Cependant, les Catalans avaient ouvert le score en ayant inscrit un but en début de match, ce qui rendait la tâche plus difficile au club français pour se qualifier en demi-finale. Un fait de jeu va relancer le match des parisiens, Ronald Araújo prend un carton rouge et le Barça doit jouer à dix joueurs contre onze. En intensifiant leurs niveaux, les joueurs du PSG réussissent à revenir à 1-1 avant la mi-temps, grâce à un but de l’ancien joueur du Barça, Ousmane Dembélé. Dès le début de la seconde période, les parisiens profitent de leur supériorité numérique pour marquer un deuxième but et rattraper le club espagnol au cumul du score des deux rencontres. Les 3600 supporters Parisiens qui ont fait le déplacement et les supporters devant leurs écrans peuvent espérer une remontée et se qualifier. En 28 minutes, Kylian Mbappé inscrit un deux buts et délivre le PSG et ses supporters. Les joueurs du club français ont été sereins tout au long de leur match, tandis que les joueurs du FC Barcelone ont perdu leurs nerfs. Après ce scénario, les Parisiens vont affronter le club allemand du Borussia Dortmund en demi-finale de la Ligue des champions et peuvent rêver d’une place en finale cette année.
- Ligue des Champions : le PSG renversé par Barcelone
Les Parisiens se sont inclinés deux buts à trois face au Barça, mercredi soir, au Parc des Princes, en quarts de finale aller de la compétition. Pour se qualifier, les joueurs de la capitale devront s’imposer en Catalogne, mardi 16 avril. Pendant 20 minutes, le club de la capitale domine le FC Barcelone. Cependant, les joueurs parisiens s’éteignent durant tout le reste de la première période et commettent de nombreuses erreurs. Les Catalans en profitent et trouvent le chemin des filets à la 38e minute. Changement tactique pour Luis Enrique et le club de la capitale, après la mi-temps : Barcola remplace Asensio. Après de nombreuses critiques sur son manque d’efficacité pour finir les actions, Ousmane Dembélé répond en envoyant un missile dans les filets du FC Barcelone. Les Parisiens inscrivent deux buts en 2 min 15, le Parc des Princes explose de joie et les supporters peuvent espérer une qualification en demi-finale de la Ligue des champions. Cependant, le Brésilien Raphinha s’offre un doublé en réalisant une reprise de volée à la 62e minute. Le FC Barcelone repasse devant au score avec un but de Christensen à la 77e minute sur un corner, le gardien parisien Donnarumma ne sort pas pendant cette phase de jeu. Le PSG s’incline à domicile sur le score de deux buts à trois. Les Parisiens devront s’imposer en Catalogne pour se qualifier en demi-finale de la Ligue des champions.
- Real Madrid - Manchester City : un match spectaculaire avec de nombreux rebondissements
Les Merengue et les Citizens ne sont pas parvenus à se départager mardi, au stade Santiago Bernabéu, en quart de finale de Ligue des champions (3-3). Au cours de ce match, il y a eu de nombreux retournements de situation. La qualification pour la demi-finale se jouera au match retour le mercredi 17 avril à Manchester. Cette affiche entre le Réal Madrid et Manchester City était attendue par les amoureux du football. Depuis 2 ans, les Merengue et les Citizens se rencontrent lors des phases à élimination directe de la Ligue des champions. Cette année, ces deux grands clubs s’affrontent en quart de finale, comparé aux deux années précédentes où ils s’étaient affrontés en demi-finale. Une finale avant l’heure Dès le début de cette rencontre, le Portugais Bernardo Silva inscrit un coup franc à 25 mètres qui trompe le gardien du Réal Madrid Andriy Lunin. Cependant, les Madrilènes renversent ce match en inscrivant deux buts en l’espace de deux minutes de jeu. Par la suite, cela va assommer les Citizens pendant toute la première mi-temps. Dominé à l’extérieur, Manchester City n’abandonne pas en seconde période. À la 66e minute, une frappe sublime de Phil Foden permet au club anglais de revenir dans le match. Puis cinq minutes plus tard, le croate Joško Gvardiol envoie un missile dans les filets du Réal Madrid, ce qui donne l’avantage à Manchester City. Cependant, Federico Valverde marque un but magique à la 79e minute pour faire revenir les Merengue au score de trois buts à trois. Lors de cette rencontre, les défenseurs du Réal Madrid, surtout Antonio Rüdiger, ont empêché Erling Haaland de pouvoir jouer librement dans leur surface.
- Paris - Roubaix 2024 : vélodrome couleur arc-en-ciel !
24 heures après le succès de la championne du Monde Lotte Kopecky chez les Femmes, son homologue masculin Mathieu Van der Poel a, à son tour, décroché la victoire sur l'édition 2024 de Paris - Roubaix. Au terme d'un show de 59 kilomètres, le Néerlandais s'est imposé en solitaire sur le vélodrome André Pétrieux. Ctrl+C, Ctrl+V, prenez les mêmes et recommencez. Après Milan - San Remo et le Tour des Flandres, c'est sur Paris - Roubaix que l'équipe Alpecin - Fenix triomphe en plaçant, comme en 2023, Mathieu Van der Poel et Jasper Philipsen aux deux premières positions du classement. La saison de l'équipe belge est monumentale et s'inscrit dans la légende. Pour la première fois de l'histoire, une même formation a remporté les trois premiers Monuments de la saison. Mathieu Van der Poel en patron Immense favori annoncé, Mathieu Van der Poel a une nouvelle fois prouvé qu'il n'était jamais meilleur qu'une fois mis sous pression. Il faut dire que, même avec une pancarte collée sur le dos, le champion du Monde est tellement supérieur à la concurrence qu'il aurait été impossible pour quiconque de le suivre lorsqu'il a déclenché son attaque à 59 kilomètres de l'arrivée. Dans le secteur pavé d'Orchies, Mathieu Van der Poel a anticipé le terrible enchaînement Auchy-lez-Orchies / Mons-en-Pévèle en surprenant tous ses adversaires. Les adversaires de l'équipe Alpecin - Fenix ont tenté de s'organiser pour résister au destin tout tracé de la course mais personne n'a été en capacité de rivaliser avec le Néerlandais. Aucun coureur n'a semblé aussi fort que le champion du Monde, à l'exception peut-être de Jasper Philipsen son coéquipier. Le vainqueur de Milan - San Remo a même offert à son équipe un nouveau doublé en remportant le sprint pour la 2e place face à Mads Pedersen (3e) et Nils Politt (4e).
- Chutes, débats, sécurité : vers une nouvelle ère du cyclisme ?
Chaque saison, le nombre et la gravité des chutes ne cessent d'augmenter faisant toujours réagir les syndicats des coureurs cyclistes. Dangerosité des routes, comportements des coureurs et prises de risques démesurées, les raisons de ce chaos sont diverses et provoquent de nouveaux débats sur l'avenir du cyclisme. Organisateurs ou coureurs, les responsables présumés des chutes qui morcellent le peloton depuis le début de la saison 2024 se renvoient la balle de la culpabilité. Après un "strike" dans une descente du Tour du Pays Basque, une dizaine de coureurs a été contrainte à l'abandon hier. Parmi eux, Jonas Vingegaard, Remco Evenepoel et le leader du général Primoz Roglic ont particulièrement fait réagir après le forfait de Wout Van Aert des courses flandriennes sur chute. Une course cycliste par élimination À la fin, il n'en restera plus qu'un. Le cyclisme devient une course à élimination qui ne sacre plus seulement le plus fort des coureurs au départ d'une étape mais celui qui sera parvenu à franchir la ligne d'arrivée en évitant les pépins. En raison de la vitesse et des risques pris par les coureurs qui ne cessent d'augmenter sur la route, les chutes deviennent de plus en plus fréquentes et de plus en plus dangereuses malgré des processus de sécurisation des courses également grandissants. L'accident du Tour du Pays Basque est la goutte qui fait déborder le vase pour certains. Sur le réseau social Instagram, le Français Rudy Molard appelle à "une prise de conscience générale du danger" en pointant "les coureurs [...] premiers responsables". Lui-même victime d'une chute sur le Tour Down Under en janvier, le coureur de la Groupama - FDJ n'est toujours pas retourné à la compétition. Comme de nombreuses personnalités du monde cycliste, il appelle à des changements qui ne sont déjà pas accueillis par tous. Le casse-tête : sécuriser sans dénaturer Fruit du hasard, la semaine était déjà chargée en débats autour de la sécurité des coureurs. Défendue par le syndicat cycliste dirigé par Adam Hansen, ancien coureur professionnel, une chicane a été placée sur le parcours de Paris - Roubaix en amont de la Trouée d'Arenberg. Visant à ralentir la vitesse des coureurs arrivant sur les pavés, cette décision est loin de faire l'unanimité. En plus de forcer le peloton à freiner quelques mètres après un passage à niveau, ce virage dénature fortement l'essence même de l'Enfer du Nord. "Est-ce que c'est une blague ?" s'est contenté Mathieu Van Der Poel sur X (ex-Twitter) pour manifester son mécontentement. Vainqueur en titre, le champion du Monde visera le doublé dimanche.
- Les Bleues réussissent leur entrée contre l'Irlande (1-0)
Pour son premier match de qualification à l'Euro 2025, l'équipe de France Féminine a fait le travail contre l'Irlande pour s'imposer sur la plus petite des marges 1 but à 0. Face à une faible adversité, les Bleues l'ont emporté sans se montrer réellement convaincantes. L'entrée en compétition est toujours piégeuse mais la France n'a pas failli. Contre la République d'Irlande, les Bleues n'ont pas eu à forcer leur talent pour l'emporter. Avec un but inscrit dès le début de match, à la sixième minute de jeu, Marie-Antoinette Katoto a offert aux Françaises la possibilité de ralentir le rythme le reste de la rencontre. Sur un coup franc frappé par Kenza Dali, Maëlle Lakrar a effectué une remise de la tête au second poteau où l'attaquante parisienne n'a eu qu'à pousser le ballon pour ouvrir le score. Sereine, l'équipe de France n'a jamais été inquiétée le reste du match en n'ayant pas la nécessité de prendre des risques. La tâche s'annonce plus difficile pour les prochains matchs face à la Suède et l'Angleterre. Les deux premières équipes de ce groupe de quatre seront qualifiées directement pour la compétition.
- Valero Texas Open : la journée folle de Paul Barjon
Ce jeudi 4 avril, lors du 1er tour du Valero Texas Open, Paul Barjon a connu une journée très accidentée. Sur le Oaks Course du TPC San Antonio, le Français a limité la casse malgré un très mauvais démarrage pour signer une carte de 73 (+1). A +4 après seulement 3 trous ce jeudi matin, Paul Barjon était très mal parti dans ce 1er jour du Valero Texas. Malgré ce démarrage catastrophique (bogey 10, triple bogey 12), le golfeur de 31 s’est accroché pendant toute la partie pour rester dans les clous d’une qualification pour le week-end. L’ancien étudiant de la faculté de TCU a enchaîné les birdies sur les trous 13, 15 et 17 pour revenir à +1 à la fin de son aller (il est parti du 10). Malheureusement, comme depuis le début de l’année, Barjon a eu du mal à surfer sur la vague et concède 2 bogeys aux 1 et 3. Ce mauvais passage sur le milieu de sa partie le fait dégringoler au classement, la faute à un chipping et à un jeu de fer pas à la hauteur (2,6 coups de perdus autour des greens et 1,3 coups de perdus sur ses attaques de drapeau). Ses deux derniers birdies sur le 5 et le 6 lui permettent d’enregistrer une carte de 73 (+1). Il est actuellement 76e à égalité du tournoi. Un putting exceptionnel Le point positif de la journée de Paul Barjon, c’est sans aucun doute le putting. Habituellement, ce n’est clairement pas sa plus grande force mais, étonnamment, le Français a rentré plus de 40 mètres de putts sur le parcours du TPC San Antonio. Au total, il n’a fait que 25 coups sur les greens et a gagné 4 points dans ce secteur de jeu aujourd’hui, le classant 2e du champ de joueur. Malgré son mauvais début de saison, Paul Barjon pourra se rassurer en se disant que son niveau putter en main progresse petit-à-petit. Il faudra tout de même envoyer un très bon score vendredi à 21h47 heure française pour espérer franchir le cut au Texas.
- Van der Poel III, roi des Flandres
Immense favori au départ, Mathieu Van der Poel a écrasé la concurrence sur le Tour des Flandres 2024 en s'imposant avec un écart impressionnant à l'arrivée. Le champion du Monde continue d'écrire l'histoire de cette course avec un 5e podium consécutif en cinq ans. En Belgique, il est comme chez lui. Vainqueur du Tour des Flandres 2024, Mathieu Van der Poel écrit une troisième fois son nom au palmarès de la course Reine des pavéistes. 1er, 2e, 1er, 2e et une fois encore 1er, le Néerlandais monte pour la cinquième fois sur le podium en cinq ans. Van der Poel et les autres Sans Tadej Pogacar et Wout Van Aert, Mathieu Van der Poel n'a pas fait face à une concurrence suffisante pour lui résister longtemps. C'est dans un passage détrempé du Koppenberg à 45 kilomètres de l'arrivée que le porteur du maillot arc-en-ciel s'est envolé dans la boue flandrienne. Plaçant une attaque décisive alors que la plupart des coureurs ont dû mettre pied à terre dans des pentes à plus de 15 %, le champion du Monde s'est lancé dans un raid solitaire jusqu'à Oudenaarde où il a pu célébrer son troisième succès à la manière de Philippe Gilbert, 7 ans plus tôt. Une bataille haletante pour les miettes Rapidement relégués à plus d'une minute de l'homme de tête, les poursuivants de Mathieu Van der Poel se sont menés une véritable bataille pour monter sur les deux places restantes du podium. Parti en contre, le duo Bettiol-Teuns a cru se disputer la 2e place mais il a été avalé dans l'emballage final par le groupe de poursuivants. Dans une "sprint de morts", Luca Mozzato a fait la sensation en passant sur la ligne Michael Matthews pour offrir à l'équipe ProTeam Arkea - B&B Hotels un podium de Monument. Le coureur australien de la Jayco - AlUla doit une nouvelle fois se contenter d'un top 3 après avoir fini 2e de Milan - San Remo il y a quelques semaines.
- FC Metz : "Ne rien lâcher" pour survivre en Ligue 1
À huit journées de la fin du championnat, le FC Metz occupe une 17e place synonyme de relégation. Les espoirs de maintien restent présents après s'être sorti d'une série de 11 matchs sans victoire. La solidarité et la force mentale prévalent pour le capitaine Matthieu Udol. Deux succès contre Nantes et Clermont sont venus sauver le FC Metz d'une spirale atroce de 11 match sans victoire dont 8 défaites consécutives. Dans une course sans pitié mais pour le maintien en première division, le capitaine de l'équipe Matthieu Udol voit la 17e place messine comme "une source de motivation qui force à ne rien lâcher". Avec 3 buts et 4 passes décisives cette saison, l'enfant du pays lorrain est un atout indispensable à l'attaque du FC Metz malgré son poste de défenseur latéral ou piston droit. Une reprise de confiance avant le sprint final Bien que les joueurs de László Bölöni se soient inclinés sur le fil face au Stade de Reims (2-1), le mois de mars leur a offert une bouffée d'air après une série qui a fortement remis en cause l'entraîneur roumain. "Malgré une longue succession de défaites, on a réussi à garder confiance et renverser la tendance" a temporisé Matthieu Udol. Remplissant son rôle de capitaine en dehors des terrains, le Grenat est aussi un meneur d'hommes sur le terrain. Lors de la défaite contre les Rémois, il a mené la révolte qui a permis à son équipe d'égaliser une dizaine de minutes après l'ouverture du score. "Il fallait être fort mentalement pour revenir au score en début de match (NDLR : égalisation à la 14e minute après un but inscrit à la 3e) comme on l'a fait" conclut le latéral messin.
- Ferrari et Sainz s'imposent à Melbourne !
Deux semaines après son forfait à Djeddah en raison d'une opération de l'appendicite, Carlos Sainz réalise un retour victorieux en Australie. Parti en pôle, Max Verstappen a été contraint de rapidement abandonner laissant Ferrari tranquillement en tête. Une nouvelle fois c'est Sainz qui défait Verstappen. Certes sur un abandon mais le rythme de l'espagnol semblait au même niveau que celui de triple champion du monde. Parti en pôle, Verstappen s'est fait dépasser dès le 2e tour par Sainz avant d'abandonner deux tours plus tard voyant son frein arrière droit s'enflammer. Sainz se retrouve donc seul en tête pour espérer la victoire. Le coéquipier du Néerlandais, Sergio Perez, parti de la 6e place, a animé la course en effectuant une légère remontée à la 4e place au terme de jolis dépassements sur Alonso et Russel. Les deux Mercedes ont abandonné, sur problème mécanique pour Hamilton, et sur un crash dans le dernier tour en essayant de rattraper Alonso pour Russel. L'espagnol a d'ailleurs été pénalisé de vingt secondes pour avoir incorrectement défendu sur Russel en freinant de manière anticipé. A la fin du 58e tour, c'est donc Sainz qui franchit la ligne en première position devant son coéquipier Charles Leclerc et les deux McLaren. Il s'agit du premier doublé Ferrari depuis l'arrivé de Frederic Vasseur.