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  • Matthieu Pavon va jouer sur le PGA Tour

    Ce dimanche 19 novembre, le golf français est à la fête. Pour le dernier tournoi de la saison 2023 du DP World Tour à Dubaï, le bordelais Matthieu Pavon a pris la cinquième place. Cette performance exceptionnelle lui offre un statut sur le circuit du PGA Tour pour 2024. « Les quatre plus beaux derniers trous de ma carrière », c’est la libération. Au bout d’une dernière journée forte en émotions, Matthieu Pavon décroche un des 10 tickets offerts pendant la finale pour jouer sur le prestigieux tour américain. Après un bon démarrage, le français perd du terrain en milieu de partie, concédant 2 points sur les trous 8 et 12, l’éloignant de son rêve du PGA Tour. La messe semble dite. Un finish de folie Impossible n’est pas français. Vainqueur pour la première fois de sa carrière d’un tournoi du DP World Tour à Madrid mi-octobre, Pavon réagit de la meilleure des manières. Trois coups gagnés entre le 15ème et le 17ème trou remettent le français dans les clous d’une qualification sur le plus grand circuit mondial. La fin est historique. Sur le 18ème et dernier trou, son approche de 70 mètres finit à quelques centimètres du drapeau. Le coup rentre derrière, il peut enfin célébrer et finit 5eme du tournoi, derrière le vainqueur danois, Nicolai Højgaard. Les larmes aux yeux dans le coin presse, il réalise enfin son rêve d’enfance : jouer sur le PGA Tour.

  • Le rugbyman Antoine Dupont vers les Jeux Olympiques

    Récemment élu meilleur joueur de la dernière saison du TOP 14, le prodige français a confirmé participer aux JO en passant du rugby à XV au rugby à 7. Dupont aura l’occasion de s’essayer à un nouveau type de jeu de ce sport. L’idée lui taraudait l’esprit depuis pas mal de temps et c’est désormais officiel, Antoine Dupont, véritable star du rugby, va rejoindre l’équipe de France à 7 pour espérer participer aux Jeux Olympiques. Sa présence semble être une évidence tant ses qualités rugbystiques et athlétiques collent parfaitement au jeu du rugby à 7 fait plein de vitesse et d’évitement. Dupont doit d’abord découvrir le groupe France, s’entraîner et participer à des tournois avant de s’imaginer y être. Cependant, la reconversion ne sera pas simple car passé du 15 au 7 est une épreuve en soi. Le jeu à 7 est complètement différent car beaucoup plus dur physiquement et éprouvant, Dupont devra montrer qu’il est capable de s’y adapter. Le Français va connaître une année très spéciale puisqu’il alternera entre rugby à 15 et à 7. Il va également beaucoup manquer à son club de Toulouse et à l’équipe de France de rugby à 15 en loupant notamment le tournoi des 6 Nations, d’après les dernières informations.

  • Tadej Pogacar rentre un peu plus dans l'Histoire !

    Double tenant du titre et extrême favori au départ du Tour de Lombardie 2023, Tadej Pogacar aura été loin de son meilleur niveau sur la dite classique des Feuilles Mortes. Faisant parler sa technique plus que sa puissance, le champion Slovène a conquis son troisième succès sur la classique lombarde, un record de victoires consécutives qu'il partage maintenant avec Alfredo Binda et Fausto Coppi. Ne pouvant pas faire la différence en montée, c'est cette fois dans la descente que Tadej Pogacar s'en est allé seul à près de 30 kilomètres de l'arrivée. Offensif dans l'ascension du Passo di Ganda, le coureur de la UAE n'a pas su faire parler son punch habituel pour lâcher les derniers rivaux qui avaient résisté au travail impressionnant de ses coéquipiers. Marqué par son meilleur ennemi Primoz Roglic, Tadej Pogacar a tenté son va-tout dans la descente technique qui suivit, profitant de ses qualités d'acrobate pour distancer aussi bien son compatriote que le reste du groupe de tête. Faisant cavalier seul avec une avance grandissante, Tadej Pogacar a profité d'une mauvaise entente parmi le groupe de poursuivants pour creuser un écart d'une cinquantaine de secondes au pied de la dernière ascension du jour, le Colle Aperto. Un temps inquiété par un semblant de crampes, le coureur slovène a inscrit son nom pour la troisième fois consécutive au palmarès de la course, remportant son second Monument de la Saison après son succès sur le Tour des Flandres. Pendant que la bataille était rude pour chercher les places sur le podium (2e Bagioli, 3e Roglic), l'ambiance s'est embrasée dans la Citta Alta de Bergame au passage d'un ouragan bleu : Thibaut Pinot, tout jeune retraité qui communiait alors avec son public pour la der' des ders.

  • Le Français Christophe Laporte sacré champion d'Europe !

    Entreprenant sur le circuit du Col de Vam, Christophe Laporte a joui d'une stratégie parfaite sur la course en ligne de ces championnats d'Europe de Cyclisme sur route. Parti seul dans le dernier tour de course à 12 kilomètres de l'arrivée, le Français a tenu jusqu'au bout pour lever les bras et décrocher le maillot irisé d'étoiles de champion d'Europe de la discipline. Dans une course plus calme que d'habitude où les favoris se seront peu découverts, il ne fallait pas rater le coche à 26 kilomètres de l'arrivée lorsque les premières grosses offensives furent lancées. Quelques secondes après l'accélération du coureur français de la Jumbo - Visma Christophe Laporte, une chute a décidé des hommes qui se joueraient le titre. Envoyant au sol des favoris comme Filippo Ganna, ce fait de course ralentit surtout une bonne partie du peloton de tête, laissant filer à l'avant une échappée qui prit rapidement une trentaine de secondes d'avance. Laporte, Dujardin, Van Aert, De Lie, Kooij, Teunissen, Kron, Pedersen, Tiller, Degenkolb : la liste des potentiels champions d'Europe ne se limitait alors plus qu'à 10 noms. Alors que l'entente dans le groupe était parfaite, aidée par la présence d'équipiers, Christophe Laporte a tenté le tout pour le tout en attaquant dans le dernier tour à 12 kilomètres du terme de la course au même endroit que la boucle précédente. Parti en solitaire, le français s'est ainsi lancé dans un mano a mano avec le groupe de poursuivants, ne faisant jamais grandir l'écart au-delà des quinze secondes. Cette avance, il sut la garder jusqu'au pied de la difficulté finale, moment choisi par l'équipe de Belgique pour lancer la fusée Wout Van Aert. Le travail d'Arnaud De Lie fut incroyable, lâchant tous les concurrents de son leader à l'exception du néerlandais Olav Kooij et quand Van Aert lança le sprint final avec uniquement quelques longueurs de retard sur un homme de tête en perte de vitesse, le destin sembla enfin tendre les bras au belge que les titres internationaux fuient depuis des années sur route. Mais la jonction fut à peine effectuée à une centaine de mètres de la ligne que le français Christophe Laporte sut remettre la force suffisante pour contrer le retour de son coéquipier de la Jumbo - Visma pour garder une courte avance d'un vélo jusqu'à la ligne d'arrivée, décrochant ainsi le titre de champion d'Europe 2023 et succédant au Néerlandais Fabio Jakobsen.

  • La Master-class de Carlos Sainz (Ferrari) met un terme à l'hégémonie Red Bull !

    Il aura fallu attendre le quinzième Grand Prix de la saison 2023 à Singapour pour voir enfin une autre écurie que Red Bull Racing s'imposer le dimanche. Parti en pôle position, Carlos Sainz aura mené l'entièreté des 62 tours de la course, résistant même au retour des Mercedes sur des pneus plus performants en fin de Grand Prix. Déjà parti depuis la première place de la grille à Monza deux semaines plus tôt, Carlos Sainz (Ferrari) n'avait pas été capable de concrétiser cet avantage, logiquement surpassé par deux monoplaces Red Bull impressionnantes de supériorité depuis le début de saison. Si le pilote espagnol avait tout de même réussi à monter sur la troisième marche du podium sur les terres de la Scuderia, une occasion bien plus franche de l'emporter se proposait à lui ce dimanche, les deux Red Bull en souffrance sur le tracé sinueux de Singapour partant au-delà du Top 10 sur la grille de départ. Profitant du bon départ de Charles Leclerc, qui s'empara de la seconde position en dépassant George Russell dès le premier virage, la Scuderia Ferrari avait toutes les cartes en main au cours de ce Grand Prix de Singapour. Après avoir sacrifié dans un premier temps les chances de victoire du pilote monégasque en lui ordonnant de ralentir les autres pilotes du peloton pour laisser le pole-man Carlos Sainz prendre une avance conséquente, tout fut à refaire pour les Rouges après l'intervention de la voiture de sécurité au vingt-et-unième tour (Accident de Logan Sargeant, Williams). Alors talonné à la relance par George Russell (Mercedes) et Lando Norris (McLaren) et non plus par son coéquipier victime du trafic dans la voie des stands, le leader de la course Carlos Sainz a été forcé de rentrer dans une course hautement stratégique pour conserver une position à la fois avantageuse sur la piste et désavantageuse vis à vis de la stratégie de course. Tentant de garder un peloton compact compromettant un second arrêt aux stands et une tentative d'undercut par ses poursuivants, le coursier Espagnol a imposé un rythme bien loin de celui que sa monoplace était capable de tenir. C'est pourtant au tour 45 que la course a chaviré dans une autre dimension. Suite à l'immobilisation d'Esteban Ocon (Alpine), victime d'une panne mécanique, au premier virage, la direction de course mit en place un régime de voiture de sécurité virtuelle, théâtre d'un coup de poker de l'écurie Mercedes. Bénéficiant d'un train de pneus Mediums neufs supplémentaires, les deux Flèches d'Argent alors deuxième et quatrième ont plongé dans les stands, pouvant effectuer un arrêt bien moins impactant que dans des conditions de course habituelles. Leur retard sur la tête de course s'égrena alors à une vitesse hallucinante. Ne faisant qu'une bouchée de Charles Leclerc, vivant un dimanche bien plus complexe que son coéquipier, les deux monoplaces Mercedes revinrent rapidement sur les deux derniers obstacles à leur victoire : Lando Norris et Carlos Sainz. Ce dernier joua à son tour son va-tout : garder volontairement un rythme de course plus faible pour permettre à son dauphin de conserver le DRS et de se défendre face aux offensives des pilotes Mercedes. Ce pari s'avéra gagnant puisque le pilote britannique a dans un premier temps résisté à la pression exercée par ses deux compatriotes, avant de laisser George Russel partir seul à la faute dans le dernier tour. Impérial sur un tour le Samedi, Intelligent en course le Dimanche, le pilote espagnol Carlos Sainz a ainsi franchi la ligne d'arrivée en tête au terme des 62 tours de course devant un Lando Norris combatif avec sa McLaren et le septuple champion du Monde Lewis Hamilton complétant le podium.

  • Red Bull tombe de haut à Singapour...

    Chasseurs de records depuis le début de saison avec une série de quinze victoires consécutives en Grand Prix depuis le succès de Max Verstappen en 2022 à Abu Dhabi, l'écurie Red Bull a vu sa lancée arrêtée sur le tracé urbain de Singapour qui aura révélé de réelles faiblesses sur la monoplace de l'écurie autrichienne victime des nombreuses bosses de la piste. Max Verstappen cinquième et Sergio Perez huitième, un résultat inespéré vu les difficultés de leurs monoplaces ce dimanche, les pilotes de l'écurie Red Bull auront bénéficié des problèmes mécaniques et des erreurs de leurs concurrents pour conquérir ces 14 petits points. L'issue de ce week-end semble invraisemblable pour les champions du Monde en titre qui avaient la possibilité d'obtenir le titre de champion Constructeur dès ce quinzième Grand Prix avec comme condition de marquer 43 points de plus que les pilotes Mercedes. En souffrance dès le vendredi, Max Verstappen et Sergio Perez ont connu un week-end bien plus complexe qu'attendu. D'abord éliminés en Q2, onzième et treizième en qualifications, les pilotes Red Bull eurent même du mal à remonter au sein du peloton le Dimanche, tentant pourtant une stratégie décalée qui leur permit une véritable remontée en fin de course avec des pneus plus tendres et moins usés que leurs adversaires. Avec une monoplace habituée aux premières positions, c'est finalement loin de la bataille pour la victoire que l'écurie du distributeur de boissons énergisantes a vu sa course se dérouler face à des monoplaces sensées être bien moins performantes comme les Alpine et Aston Martin. A Suzuka, sur un circuit qui devrait à nouveau leur correspondre, Red Bull aura une occasion de s'emparer définitivement du titre de champion du Monde des constructeurs 2023. Cependant, même si ce week-end s'avère comptablement anecdotique pour l'écurie autrichienne au vu de son avance aux différents classements, elle soulève la possibilité de voir Red Bull en grande difficulté, de quoi motiver leurs concurrents avant cette fin de saison.

  • La passe de deux pour Kaden Groves (Alpecin - Deceuninck) à Burriana !

    Bousculé par Filippo Ganna (Ineos Grenadiers), étonnant de puissance, dans les derniers mètres de l'étape, le Maillot Vert Kaden Groves n'a pas faibli, emmené à la perfection par ses coéquipiers de la Alpecin - Deceuninck. Déjà victorieux la veille, le sprinteur australien prend déjà une sacrée option au classement du Maillot Vert alors que seules cinq étapes ont été réalisées.

  • Kaden Groves triomphe sur le premier sprint massif !

    Délaissés par un parcours peu propice aux arrivées massives, les sprinteurs se devaient de scorer à Tarragone. Plus fort que ses compères dans le dernier faux plat, l'Australien Kaden Groves (Alpecin-Deceuninck) a su concrétiser le travail de ses coéquipiers au terme d'un final marqué par les chutes. Immense favori à la victoire d'étape, Kaden Groves a été capable de répondre présent à Tarragone. Déçu après sa deuxième place dimanche à Barcelone, l'Australien a tout bien fait en ce quatrième jour de course. Contrôlant parfaitement le groupe composé de trois échappés (Sepulveda, Okamika, Gonzalez) qui a pris les devants de la course, l'équipe Alpecin - Deceuninck a jailli dans les ultimes kilomètres de l'étape pour éviter les premières chutes massives de cette Vuelta puis placer à la perfection son leader dans la roue de Juan Sebastian Molano (UAE Team Emirates) qui tenta d'anticiper le sprint à 400 mètres de la ligne d'arrivée. Malgré un effort impressionnant de puissance, le sprinteur Colombien n'a pas pu contenir le punch de Kaden Groves qui pris la tête de ce sprint dans les dernières mètres de l'étape pour s'adjuger le succès d'étape et le port du Maillot Vert de meilleur sprinteur. Déjà impérial sur les sprints du Tour de France en juillet, l'équipe belge Alpecin - Deceuninck se place comme la grande favorite pour la victoire du Maillot Vert sur le Tour d'Espagne, une confirmation définitive de son nouveau statut de "Reine du Sprint".

  • Remco Evenepoel se pare de Rouge en Andorre !

    La frustration du contre-la-montre par équipes perdu ce Samedi est déjà effacée dans le clan Soudal Quick-Step après cette première étape de montagne à Arinsal. Le plus rapide et le plus malin au sommet de l'ascension finale, Remco Evenepoel a pu lever les bras sur la ligne d'arrivée, s'emparant ainsi du Maillot Rouge de leader du Général. Que les choses peuvent vite s'arrêter dans ce sport qu'est le cyclisme. Seulement quelques secondes après la joie suscitée par son succès, Remco Evenepoel percutait une foule de spectateurs après l'arrivée, sans conséquences on l'espère pour le champion de Belgique tout de même amoché au visage par cette frayeur. Etant la première étape de montagne de cette Vuelta, la route entre Suria et Arinsal semblait propice aux échappées, entraînant les attaques de cadors du peloton tels que Damiano Caruso (Bahrain - Victorious) et Lennard Kämna (Bora - Hansgrohe). Loin au-dessus de leurs compagnons en tête de course, les deux pointures de cette échappée se sont rapidement isolées à l'approche de la montée finale vers Arinsal. Faisant un temps jeu égal avec les coéquipiers des favoris au général, le duo de tête a fait planer le doute sur la victoire d'étape, comptant une minute et demi d'avance jusqu'à 3 kilomètres du sommet. Cependant, leur avance a fondu comme neige au soleil sous les premières attaques des prétendants au général, condamnant Lennard Kämna à un kilomètre du terme de cette étape alors que l'Allemand s'était défait de Damiano Caruso. Esseulé face au collectif impressionnant de la Jumbo-Visma, Remco Evenepoel a réussi à faire chavirer Sepp Kuss, Jonas Vingegaard et Primoz Roglic en anticipant à la perfection le final technique truffé de virages de cette troisième étape. En tête à la sortie de la dernière épingle située à 125 mètres de la ligne d'arrivée, le récent Champion du Monde du contre-la-montre a fait parler sa pointe de vitesse pour décrocher Jonas Vingegaard, deuxième et Juan Ayuso, troisième de l'étape. Profitant des secondes de bonifications dues à sa victoire, Remco Evenepoel s'empare ainsi du Maillot Rouge pour 5 secondes devant Enric Mas (Movistar Team) et 11 sur le jeune français Lenny Martinez (Groupama-FDJ) qui entame son premier Grand Tour de la meilleure des manières en tenant les meilleurs coureurs de cette Vuelta. Son équipe étant bien moins armée que celle de ses rivaux des équipes UAE Team Emirates et Jumbo - Visma, le nouveau leader du classement général sera à la peine au cours des prochains jours pour contenir les attaques des différents concurrents au général. Il sera ainsi probable de le voir céder la tunique Rouge à un coureur échappé dans les jours à venir sur des terrains très propice aux baroudeurs.

  • Dans des conditions polémiques, DSM-Firmenich remporte le contre-la-montre par équipes et offre le premier Maillot Rouge à Lorenzo Milesi

    Partie plus tôt que les principales favorites à la victoire d'étape, l'équipe DSM-Firmenich de Romain Bardet a profité d'une vision bien meilleure avant la tombée de la nuit, leur permettant de ravir le premier succès de ce Tour d'Espagne 2023 après avoir résisté aux temps des autres formations. Composée d'un collectif très jeune, la DSM-Firmenich devra défendre le Maillot Rouge du jeune Italien Lorenzo Milesi dès la seconde étape de l'épreuve autour de Barcelone.

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