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  • Super Max l'emporte au Qatar, Gasly et Zhou dans les points

    Fraichement couronné pour la quatrième fois, Max Verstappen glane une nouvelle victoire au Qatar, devant Leclerc et Piastri. Il s'est emparé de la première position au premier virage pour ne plus la lâcher ensuite. Un GP marqué par les points de Gasly et Zhou, la lourde pénalité infligé à Norris, qui fini 10e, et une gestion presque catastrophique de la FIA. Pourtant détenteur de la pole après la qualification de la veille, Max Verstappen s'élançait de la 2nd place sur la grille. En cause, une pénalité infligée au Néerlandais pour avoir gêné Russel lors de la séance de qualifications. C'est donc le Britannique qui s'élance depuis la pole. Mais comme souvent, le pilote Red Bull rattrape rapidement ses erreurs et récupère la première position dès le premier virage. Une manœuvre qui permet à Norris derrière de se montrer dangereux et de prendre l'avantage sur son compatriote. Les positions resteront inchangées jusqu'à l'arrêt du pilote Mercedes (tour 24), ce dernier prenait la pression de Piastri derrière. Un pit stop raté (7 secondes d'immobilisation, NDLR) et des pneus durs impossibles à chauffer bloqueront Russel derrière Alonso, pourtant lent en ligne droite, pendant dix tours. En difficulté (pénalisé pour faux départ, puis crevaison), son coéquipier a failli abandonner après en avoir fait la demande, avant de se ressaisir et de franchir le drapeau à damier à une anecdotique 12e place. La FIA à nouveau inconstante Les week-ends s'enchaînent et se ressemblent du côté de la FIA. La décision de la veille de pénalisé Verstappen était certainement bonne, mais le GP s'est transformé en cirque aux pénalités et décisions incompréhensibles. La première, et la plus délirante de toute, est cette absence pendant six tours de décisions majeures lorsque que le rétroviseur de la Williams d'Albon se loge en plein milieu de la ligne droite de départ/arrivée (tour 29). À rappeler que les pilotes passent à plus de 300 km/h à cet endroit. .. Il faut attendre que Bottas roule dessus, en étale sur la piste, et les crevaisons successives d'Hamilton et Sainz pour que les commissaires agissent, déployant une safety car (tour 35). D'autant plus que pendant ces six longs tours, seulement un drapeau jaune était agité. Norris en fait d'ailleurs les frais, très sévèrement pénalisé d'un stop and go de dix secondes pour ne pas avoir ralenti sous ce drapeau jaune. Infraction notifié par la FIA après les rappelles incessant à la radio de la part du leader néerlandais, lui-même effectuant le meilleur tour en course à deux reprises pendant cette période. Cela permet aux opportunistes Leclerc et Piastri de grimper sur le podium. Alpine et Sauber sourient, Ferrari pense encore au titre Dans cette cacophonie de course automobile, Alpine et Sauber récoltent des points précieux aux championnats. Qualifié 11e, Gasly réalise un départ propre pour se défaire d'Alonso et de Tsunoda. C'est moins le cas pour son coéquipier français, partant dernier, qui voit sa course se terminer dès le premier virage, en compagnie de Colapinto, percutés par Hulkenberg. Le plus chanceux des alpines profitent des mésaventures des Mercedes, de Norris et de Sainz. Au terme d'une âpre bataille en fin de course avec l'espagnol, rappelant un certain GP en 2021 à Monza, le normand arrache la 5e place. L'écurie française chipe à nouveau la 6e place de Haas au championnat constructeur, avec cinq longueurs d'avance. Du côté du garage Sauber, la fête est aussi de mise étant donner que les premiers points de l'écurie en 2024 ont été inscrits à la suite des 57 tours du circuit de Losail. C'est l'heureux chinois Zhou qui place sa monoplace à la 8e position, dans le presque anonymat tant il n'est peu apparu à l'écran. Pour Ferrari, les espoirs de titre constructeur sont toujours d'actualités avec la dixième place de Norris. L'écurie italienne reprend cinq points à McLaren sur le week-end. Avec 21 points de retard et une course restante, Ferrari peut encore rapporter ce titre à Maranello. Tout se jouera dans une semaine, à Abu Dhabi, pour l'ultime Grand Prix d'une saison mémorable.

  • Las Vegas : George Russell et Mercedes récompensés, Max Verstappen titré

    Parti en pôle position, George Russell a remporté sans forcer le Grand Prix de Las Vegas devant son coéquipier, Lewis Hamilton. 5e et loin derrière les Mercedes, Max Verstappen a assuré son quatrième titre de champion du monde pilotes, terminant devant Lando Norris, 6e. Irrésistible tout au long du week-end. Il fallait bien le défi de partir 10e pour pimenter le Grand Prix de Las Vegas de Mercedes. Jamais l'écurie allemande n'a cédé la première place, ce dimanche matin. Alors que George Russell a tranquillement fait la course en tête, Lewis Hamilton a dû, lui, s'imposer une remonter à travers le top 10 jusqu'à la 2e position. Des McLaren aux Ferrari, en passant par Max Verstappen, personne n'a pu résister à la vitesse de la Mercedes ce week-end. Menant un train d'enfer, le septuple champion du monde a même fait planer le doute sur la victoire qui tendait les bras à son coéquipier, revenant à moins de cinq secondes. George Russell a toutefois su hausser son rythme de course pour franchir la ligne d'arrivée en patron et en vainqueur. Verstappen au quatrième ciel Il y avait 2021, 2022, 2023. 2024 s'est ajouté à la liste des titres de champion du monde pilote de Max Verstappen. Chahuté depuis plusieurs mois, sa domination extrême de 2022 au début de saison ferait presque oublié que le Néerlandais possède plus de 60 points d'avance, bien qu'il n'ait remporté qu'une seule course en douze Grand Prix. Avec ce quatrième sacre, il rejoint dans l'histoire Alain Prost et Sebastian Vettel. Comme l'Allemand de 2010 à 2013, Verstappen a marqué de son empreinte l'histoire de l'écurie Red Bull, titré quatre saisons consécutives. À 27 ans, il semble lui capable de conquérir un cinquième titre en 2025 et d'égaler la légende Juan Manuel Fangio.

  • Johannes Boe annonce sa retraite pour 2026

    À une semaine du début de la saison 2024-2025 de la Coupe du Monde de Biathlon, Johannes Boe a annoncé qu'il mettrait un terme à sa carrière en 2026. Une décision attendue mais qui l'empêchera de s'approprier tous les records. Plus que deux années pour briller avant de tirer sa révérence. C'était attendu et c'est désormais officiel : Johannes Boe prendra sa retraite à l'issue de la saison 2025-2026. Invité du podcast Extrarunde , ce lundi, le champion norvégien a confirmé qu'il n'irait pas plus loin que les Jeux Olympiques 2026 de Milan-Cortina d'Ampezzo. « Je ne continuerai pas après. Que j’ai cinq, six ou sept globes ; 85, 90 ou 100 victoires, cela n’aura pas d’importance à ce moment-là » a confié le quintuple vainqueur de la Coupe du Monde. Le record de 95 victoires sur le circuit mondial d'Ole Einar Bjørndalen est à sa portée, lui qui en compte 85. Cependant, Johannes Boe ne pourra pas faire mieux qu'égaler le record de sept gros globes de cristal de Martin Fourcade. Pour cela, il ne devra pas de louper cette saison, comme la suivante. Un objectif plus qu'atteignable puisque, depuis 2018, le vainqueur en titre n'a laissé passer qu'une seule Coupe du Monde en 2021-2022.

  • Verstappen assomme la concurrence dans un Grand Prix fou

    Qualifié 17e, Max Verstappen se retrouve sur la plus haute marche du podium au terme des 69 tours d'un Grand Prix du Brésil complètement fou. Un départ avorté, une pluie intense, des crashs provoquant voitures de sécurité et drapeau rouge auront eu raison des adversaires du Néerlandais. Dans des conditions changeantes, les deux Alpines se sont illustrées pour offrir un double podium inattendu à l'écurie française. Ce week-end au Brésil était déjà spécial avec la qualification déplacée au dimanche matin en raison des conditions météos de la veille. Il est tombé dans l'irrationnel à la fin de la course, voyant Verstappen s'imposer alors qu'il partait de la 17e position, et les Alpines d'Ocon et Gasly le suivre sur le podium. Albon non-partant (qualifié 7e) et Stroll (qualifié 10e) dans les graviers dès le tour de formation, le leader de Red Bull a déjà deux adversaires au tapis avant le départ de la course. Il entame alors une remontée formidable en doublant cinq voitures dans le 1er tour pour se retrouver en 10e position. À l'entame du 12e tour, il talonne Leclerc (5e), s'étant aisément défait de Piastri deux boucles plus tôt. La réussite du champion La faute de Hulkenberg (tour 28) déclenche une voiture de sécurité virtuelle et permet à tous de gagner un arrêt gratuit, sauf au leader Norris et Russel qui s'immobilise dans les stands au moment où la course reprend. Seul Verstappen et les deux alpines font le choix de rester dehors. Décision payante puisqu'ils profitent de l'accident de Colapinto sous safety car (sortie en raison de pluies torrentielles), pour déclencher un drapeau rouge. À la relance de course, le néerlandais se défait d'Ocon, et s'envole glaner sa première victoire depuis 133 jours. Norris fébrile et malheureux Parti en pôle, il avait une occasion en or de récupérer de précieux points face à Verstappen. Que nenni ! Les maux récurrents persistent pour le Britannique qui perd l'avantage de la première place sur la grille dès le premier visage au profit de son compatriote Russel. Bloqué derrière la Mercedes, il est malchanceux sur le timing de la virtual safety car, et commet une erreur au moment du restart du drapeau rouge, se faisant griller la politesse par son coéquipier et Leclerc. Les positions sont vite échangées entre McLaren, mais le 2nd au championnat pilote est coincé derrière la Ferrari jusqu'au drapeau à damier. Les espoirs de titre individuel s'envolent pour Norris (47 points d'écart avec Verstappen en arrivant, 62 en partant). Le Néerlandais peut être couronné dès Las Vegas dans trois semaines. Un double podium historique Pour la première fois depuis Barcelone en 1997, deux Français se retrouvent sur le podium. Et le moins que l'on puisse dire est que celui-ci était inattendu. Profitant de conditions changeantes le matin, Ocon parvient à se hisser à la 4e place des qualifications, les minces espoirs sont donc bien présents. Cependant, en 13e position, Gasly n'espère que rentrer dans les points, mais rien n'est moins sûr de con côté. Et pourtant, à l'image de l'opportunisme de Verstappen, les deux alpines restent en piste au moment de la virtual safety car (28e tour), et profitent du drapeau rouge juste après pour changer de pneus. Les deux Normands sont alors 1er et 3e de la course. Au redémarrage, Ocon parvient à garder une première fois le néerlandais derrière lui, mais l'accident de Sainz (tour 39) provoque une nouvelle voiture de sécurité. Cette fois-ci, le pilote français se fait avoir dès le premier virage par l'agressivité du leader au championnat du monde pilote. Il conserve sa deuxième place, bien aidé par Gasly derrière qui fait rempart sur un Russel impuissant. Avant-dernier au classement constructeur à l'entame du week-end, Alpine grille la politesse à trois écuries pour se hisser à la 6e place.

  • Massy résiste au retour de Suresnes

    Mal embarqué dans cette première partie de championnat Nationale , le Rugby Club Massy Essonne s'est relancé à domicile face à Suresnes. Dans ce derby francilien, le club du sud de la capitale s'est montré le plus à l'aise sur le terrain (score final : 39-18). Dos au mur avec un enchaînement de 3 défaites consécutives, dont une dernière d'un tout petit point sur le terrain de Narbonne, les Massicois se devaient de réagir. Et de quelle manière l'ont-ils fait, contre le rival francilien suresnois, en allant chercher aux forceps le bonus offensif. D'entrée, les Essonniens font preuve d'une appétence offensive très intéressante mais sont incapables de conclure leurs actions, gangrénées de fautes mains. Ils occupent pourtant le camp de Suresnes sans parvenir à scorer davantage. Cependant, les joueurs d'Hugo Auradou se nourrissent des scories massicoises pour rester dans les clous du bonus défensif à la pause (13-6). Précieux ce soir, Julien Blanc est le joueur qui sonne la révolte côté RCME. D'abord sur une percée au centre de terrain qui aboutira, quelque temps de jeu plus tard, au premier essai de la rencontre inscrit par Simon Cowley (27e). Puis sur un coup de pied par-dessus, récupéré par Lacombe qui transmet à Arthur Seigneuret, dès le retour des vestiaires (41e, 20-6). Un festival offensif Bien lancés par l'essai de Seigneuret, les Bleus et Noirs font preuve de velléités offensives plaisantes à voir. En face, la réponse des altoséquanais est au niveau du jeu proposé, avec une équipe métamorphosée après la mi-temps. Il faut tout de même attendre la 63e minute de jeu pour que des points soient inscrits, depuis l'essai de celui qui est au club depuis 11 années. C'est cette fois son compère du centre, Lucas Mignot, qui aplatit dans l'en-but, à la suite d'une percée du remplaçant Bontempo (27-6). Les coéquipiers du capitaine Loubière empochent alors le bonus défensif. Les Suresnois déploient enfin leur jeu et font mal à leur adversaire du soir. Au point, peut-être, de les faire douter, en inscrivant deux essais coup sur coup (69e et 75e) pour revenir à 27-18 au tableau d'affichage. L'un est notamment aplati par un joueur formé au club, Marvin Woki, revenu en région parisienne depuis 2 ans. La fougue s'empare ensuite des locataires du stade Jules Ladoumègue qui se targuent d'une superbe action conclut en bout de ligne par Boutin (78e, 34-18). Une belle victoire pour relancer la saison ? La victoire est alors assurée, mais les joueurs ne sont pas de cet avis. Les Massicois pour aller chercher le bonus offensif, les Suresnois pour sauver l'honneur. Au gré d'une dernière action interminable qui aura vu la balle changer à trois reprises de possesseur, le RCME s'offre un bonus offensif mérité (84e minute). Cette victoire fait beaucoup de bien au club de l'Essone qui remonte trois places au classement : 8e, un point derrière Suresnes. Le prochain défi est la semaine prochaine à Albi, 6e au classement et donc premier barragiste, avec cinq longueurs d'avance sur les Massicois. La performance au Stadium Municipal risque de conditionner la suite de la saison des Bleus et Noirs.

  • Paris domine mais concède le nul face au PSV à domicile

    Pour la réception du PSV Eindhoven dans le cadre de la 3e journée de la Ligue des Champions, le PSG ressort bredouille avec un nul à la clé (1-1). Dans un match qu'ils auront, dans l'ensemble, dominé, les Parisiens se sont laissé surprendre à la 34e minute, face à des Néerlandais joueurs. Déjà 3 matchs de joués dans cette phase régulière de Ligue des Champions 2024-2025 et seulement 4 points inscrits, mais surtout, qu'une seule victoire pour le PSG. Au terme d'une rencontre plaisante, les Parisiens auront cruellement manqué de précision face au but de l'ancien pensionnaire de Ligue 1 , Walter Benitez. Ce pêcher de finition dure tout le match, une faille récurrente depuis quelque temps déjà. À deux reprises, en première période, Dembélé est en position de marquer (18e et 30e). Une première occasion à la réception d'un centre de Nuno Mendes où il envoie la balle sur la barre, puis une autre à 9 mètres face au gardien où il se loupe complètement. Dès la 2e minute de jeu d'ailleurs, les Parisiens sont dangereux, avec ce ballon dans la surface d'Hakimi qui ne parvient pas à la mettre au fond. Le latéral marocain a été le joueur de son équipe le plus en vue ce soir, infatigable sur son côté droit, multipliant les courses, et s'offrant un magnifique but sur une frappe flottante en dehors de la surface qui surprend le portier argentin (55e, 1-1). Benitez sauve le PSV dans le temps additionnel Peu inquiétés, malgré quelques sorties de balles néerlandaises tranquilles, les Parisiens se font avoir sur une erreur de passivité. Après une passe de Neves, Dembélé est surpris et se fait intercepter. La balle revient dans les pieds de Noa Lang qui, à 15 mètres, prend Donnarruma à contre-pied sur une frappe à ras de terre qui effleure le poteau gauche (34e, 0-1). Après cela, s'en suit un léger moment de flottement côté Francilien jusqu'à la mi-temps. À la 60e minute de jeu, les joueurs de Luis Enrique ne sont pas loin de concéder un second but, sans compter le superbe retour de Marquinhos, et la tergiversation de Til en face-à-face contre Donnaruma. Le capitaine a d'ailleurs sorti un grand match, et aurait pu être le sauveur de son équipe sans un arrêt magnifique de Benitez sur sa ligne (90e+6). L'ancien joueur de Nice, fautif sur le but d'Haikimi malgré un ballon piégeux, s'est largement rattrapé en repoussant la tête du brésilien. Quelques minutes plus tôt, il n'était pas loin de devoir faire face à un Parisien sur un pénalty, d'abord accordé, puis refusé après visionnage de la VAR par Mr Nyeberg. Une action très litigieuse, qui risque de délier toutes les langues.

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