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  • Lenny Martinez, premier vainqueur de la Classic Var

    Alors que la course semblait plier à 25 mètres de l'arrivée, Lenny Martinez a damé le pion à Tobias Johannessen en le sautant sur la ligne d'arrivée, alors que le Norvégien se voyait vainqueur. Le jeune Français lance sa saison de la meilleure des manières en remportant la première édition de cette Classic Var. C'est l'erreur dont on rit toujours mais que chaque coureur craint réaliser un jour. Alors qu'il avait fait la différence dans le sprint final au sommet du Mont Faron, Tobias Johannessen a célébré sa victoire beaucoup trop tôt, se relevant à 20 mètres de la ligne. Alors 3e derrière le Norvégien et le Français Romain Bardet, le coureur de la Groupama - FDJ Lenny Martinez a trouvé le second souffle pour mettre le coup de rein finale nécessaire à dépasser ses deux adversaires. Une pluie d'attaques dans le Mont Faron La Classic Var était l'occasion pour beaucoup de grimpeurs de lancer leur saison, offrant à la course un réel plateau de favoris pour sa première édition. C'est une joute entre 6 coureurs qui s'est finalement dessinée dans les 3 derniers kilomètres : Aurélien Paret-Peintre (Decathlon AG2R), Romain Bardet (DSM - Firmenich), Lenny Martinez, David Gaudu (Groupama - FDJ), Michael Woods (Israel - Premier Tech) et Tobias Johannessen (Uno - X). S'infligeant d'énormes accélérations suivies de moments de flottement total, le groupe de têtes a avalé l'ascension finale en un temps record. Ce sont finalement les plus discrets qui se sont révélés dans les derniers hectomètres. Suivant toutes les attaques sans broncher, l'expérimenté Romain Bardet a placé une offensive, la plus tranchante de toutes, à 500 mètres de l'arrivée. Il avait fait le trou mais c'était loin de l'arrivée, trop loin pour sa course de reprise. C'est finalement le Norvégien Tobias Johannessen qui prit le dessus dans ce sprint, même si l'on connaît le destin final de la course. Réalisant également son retour à la compétition, le français David Gaudu n'aura pas ménagé ses efforts avec des nombreuses attaques dans la montée dont une puissante à 700 mètres du sommet. Misant sur plusieurs chevaux, la Groupama - FDJ repart ce vendredi comme vainqueur de cette Classique Var, mais cette victoire ramène également avec elle un lot de doutes. Le jeune loup a déjà battu le leader.

  • Genesis Invitational : Cantlay prend les commandes, Tiger Woods distancé

    Ce jeudi 15 février, Tiger Woods a fait son grand retour à la compétition sur le PGA Tour au Genesis Invitational, près de Los Angeles. Avec quelques douleurs au dos, il poste une carte de 73 (+1) et se retrouve à 8 coups du leader Patrick Cantlay. Pour sa 1ère apparition dans un tournoi officiel du PGA Tour depuis avril 2023, Tiger Woods a connu une journée mouvementée ce jeudi 15 février. Quelques jours après l'annonce du lancement de sa marque « Sun Day Red », la légende du golf termine son 1er tour à la 49e place du Genesis Invitational. Le Tigre a alterné le bon et le moins bon avec 5 birdies (1, 4, 6, 11, 17) et 6 bogeys (2, 3, 10, 12, 16, 18). Mais le fait marquant de sa journée intervient au 18e trou lorsque le golfeur Américain fait un coup pour le moins étonnant. A plus de 160 mètres du drapeau, l’hôte du tournoi envoie une socket sur son 2e coup. « Ma socket ? J’ai eu un spasme dans le dos, je n’ai pas pu swinguer comme je le voulais. Cela fait très longtemps que cela ne m’est pas arrivé sur un coup comme ça », dit-il en interview de fin de partie. A cause de ce coup raté, il concède le bogey et rend une carte de 73 (+1). Le vainqueur de 15 tournois majeurs est à 8 coups de la tête, tout comme son partenaire de jeu Justin Thomas. Cantlay leader, McIlroy craque complètement Avec tous les yeux rivés sur le retour de Tiger Woods, le joueur en tête est presque passé inaperçu. Pourtant, ce n’est pas un inconnu, il s’agit du numéro 7 mondial Patrick Cantlay. Dans une journée presque parfaite, l’Américain de 31 ans poste un score de 65 (-7) grâce à huit birdies contre un seul petit bogey. Il prend un coup d’avance sur les Australiens Jason Day et Cam Davis ainsi que sur l’Américain Luke List. A -3, on retrouve le meilleur joueur au classement mondial, Scottie Scheffler. Après avoir pourtant bien commencé sa journée, Rory McIlroy a dégoupillé sur ses 4 derniers trous en enchaînant un double bogey puis un triple sur les trous 15 et 16. Il finit son 1er tour en 75 (+3) et devra batailler pour passer le cut vendredi soir.

  • La frustration est de mise pour les clubs français en Ligue Europa

    Jouant les barrages allers de phase finale de la Ligue Europa ce jeudi soir, les clubs français n'ont pas su faire la différence et s'imposer face à des adversaires coriaces. Si Marseille et Toulouse peuvent espérer chercher la qualification à domicile, Lens devra décrocher son ticket pour les 1/8e de finale sur la pelouse de Fribourg. Soufflé par l'AC Milan (3-0), les chances rennaises semblent presque réduites à 0. Ils étaient 4 à jouer leur match aller ce jeudi soir et aucun des clubs français en lice n'est parvenu à rentrer aux vestiaires avec la victoire. Le bilan est frustrant car ceux-ci pouvaient espérer beaucoup mieux à domicile pour Lens comme à l'extérieur pour Marseille et Toulouse. L'OM n'arrive plus à garder un score (2-2) Déjà puni vendredi dernier en subissant l'égalisation messine 5 petites minutes après l'égalisation, l'Olympique de Marseille n'a pas su faire mieux face au Shakhtar Donetsk, 2 buts à 2. Prenant par deux fois les devants grâce à Aumabeyang (64e) et Ndiaye (90e), les Phocéens ont payé le léger relâchement, presque caractéristique qui suit leurs buts. D'abord à la 68e grâce à une grosse erreur de Jonathan Clauss dans sa surface, puis à la 93e dans le temps additionnel, les joueurs ukrainiens sont revenus au score en moins de 5 minutes par 2 fois. Le bilan ne reste néanmoins pas catastrophique. Pour continuer dans la compétition, les Olympiens devront l'emporter la semaine prochaine à domicile, au Stade Vélodrome, et renouer avec une victoire qui les fuit depuis le succès en Coupe de France face à Thionville le 7 janvier. Toulouse vaillante mais Toulouse frustrée contre Benfica (2-1) Déjà héroïque en obtenant la qualification dans la poule de Liverpool, le Toulouse FC n'a pas démérité face au Benfica Lisbonne ce jeudi soir. Subissant les assauts lisboètes, le portier toulousain Guillaume Restes a été chanceux de ne pas subir l'ouverture du score en première période, sauvé par sa barre transversale (38e) et son poteau (45+1e). Au mythique Estadio da Luz, les vainqueurs de la dernière Coupe de France ont fait honneur à leur adversaire, montrant une réelle résistance. C'est malheureusement, par 2 fois, sur penalty que Toulouse a perdu le fil de la rencontre : une première fois à cause d'une main dans la surface (68e) puis en toute fin de match à cause d'une semelle de Mawissa (98e) alors que Desler était parvenu à égaliser d'une superbe volée à la 75e minute de jeu. Face à l'expérimenté Angel Di Maria, Guillaume Restes n'a pu faire mieux que de s'incliner, encaissant 2 buts sur penaltys, frustrants au vu de la performance toulousaine. Le TFC bénéficiera tout de même de l'apport du 12e homme, jeudi prochain, au Stadium pour espérer une qualification en 1/8e de finale. Milan éteint les espoirs rennais (3-0) Soutenus par 10 000 supporters bretons qui avaient fait le déplacement à San Siro, les Rennais n'ont rien pu faire pour échapper au destin tout tracé qui semblait les attendre en tirant au sort le terrible AC Milan, reversé de Ligue des Champions. Le Stade Renais a tant bien que mal repoussé l'échéance dans ce match mais l'ouverture du score de Loftus-Cheek (32e) fut inévitable tant les transalpins étaient au-dessus dans le jeu. Les joueurs de Julien Stéphan auraient pu espérer un renversement de situation en seconde mi-temps mais les Milanais ont tué le match en l'espace de 10 minutes. A la 47e puis la 53e minute, Ruben Loftus-Cheek et Rafael Leão ont inscrit les 2e et 3e buts du matchs, ne laissant plus place au moindre doute quant au résultat de la rencontre. Balayés 3 buts à 0, un scénario au terme duquel les Rennais se qualifient pourrait déjà être une science-fiction. Lens tenu en échec par Fribourg (0-0) La qualification se jouera la semaine prochaine à Fribourg. Incapables de se départager au Stade Bollaert, le RC Lens et le SC Fribourg peuvent regretter de ne pas avoir su prendre l'avantage sur leur adversaire alors que les occasions ne manquèrent pas d'un côté comme de l'autre. Il a fallu attendre l'heure de jeu pour voir des Lensois rentre pleinement dans ce match de barrages à la phase finale d'Europa League. Barre transversale (19e), arrêt réflexe de Brice Samba (49e) et sauvetage sur la ligne de Kevin Danso (57e), les visiteurs ont frôlé à plusieurs reprises l'ouverture du score mais ce son bien les Lensois qui ont fait trembler les filets fribourgeois à la 70e minute. Les tribunes nordistes ont chavirées quand Massadio HaÏdara a pensé inscrire, le premier but sur corner avant que celui-ci ne soit finalement annulé pour une position de hors-jeu du centreur, Frankowski. C'est sur un score nul et vierge que les deux équipe se sont finalement quittées, une rencontre frustrante pour les deux adversaires qui devront bien se départager en terre allemande la semaine prochaine.

  • ATP 500 de Rotterdam : Sinner s’impose dans la douleur face à Monfils

    Pour ce deuxième tour de l’Open de Rotterdam, Jannik Sinner élimine Gaël Monfils en 3 sets (6-3, 3-6, 6-3). Ça ne passe pas loin pour le Français qui s’incline face à la tête de série numéro 1 du tournoi ce jeudi 15 février. Sinner se qualifie pour le prochain tour et affrontera Milos Raonic. C’est dans la douleur que Jannik Sinner a remporté son match ce jeudi soir face à Gaël Monfils. Dans un match assez décousu, le jeune homme de 22 ans n’est pas passé loin de se faire sortir mais il a su se ressaisir dans la dernière manche pour se défaire du Français. Lors du 1er set, l’Italien est le premier à breaker dans le match pour mener 3-0 assez rapidement. C’est à ce moment que Monfils décide d’accélérer le rythme pour tenter de revenir au score. Le Français, vainqueur de son premier match face à Shapovalov hier, se procure quelques occasions sur le service du vainqueur de l’Open d’Australie mais ne parvient pas à concrétiser sur ses temps forts. Sinner conclut la première manche avec un dernier jeu de service solide (6-3). Un deuxième set de haute qualité pour Monfils Quelques minutes plus tard, Gaël Monfils se ressaisit. A 2-1, le vainqueur des éditions 2019 et 2020 du tournoi prend le service de son adversaire sur une double faute de celui-ci. Grâce à un service de grande qualité (80 % de points gagnés sur 1ère balle), le tennisman tricolore maintient son avantage pour se retrouver à 5-3 et servir pour le set. Même mis sous pression par Jannik Sinner dans ce dernier jeu, Monfils sauve une balle de break d’un magnifique service et remporte la seconde manche sur le score de 6-3. Ce set presque parfait lui redonne de l'espoir pour faire tomber le plus récent vainqueur de majeur, dans ce tournoi de Rotterdam. Un copier-coller avec le premier set Alors qu’on le voyait capable de l’emporter ce soir, Gaël Monfils craque dans cette fin de match. Comme lors de la première manche, le Français se fait prendre son service d’entrée et est mené 3-0 par le jeune Italien. Sans se mettre en danger, Jannik Sinner utilise son expérience et remporte tous ses jeux de service. Il ne laisse aucune chance à Monfils qui s’incline 6-3, 3-6, 6-3. Il n'y a donc plus aucun Français ici à l'ATP 500 de Rotterdam. Au prochain tour, le 4e joueur mondial affrontera le Canadien Milos Raonic, tombeur de la tête de série numéro 8 Alexander Bublik. Ce match s’annonce difficile pour l’Italien qui devra faire face à un revenant du circuit, dont la meilleure arme reste son service surpuissant.

  • La paire française Fillon-Maillet - Jeanmonnot, championne du Relais Mixte Simple

    Face aux deux leader de la Coupe du Monde Johannes Boe et Ingrid Tandrevold, les français Quentin Fillon - Maillet et Lou Jeanmonnot ont réalisé une course de champions sur le Relais Mixte Simple. Avec seulement 3 balles de pioche utilisées, la France a fait la course en tête, résistant à la pression norvégienne. C'est un 2e titre de champion du Monde en 2 Relais disputés. Si la saison est difficile chez les Hommes, les Français savent se transcender quand ils sont associés à leurs homologues féminines. Sur le Relais Mixte Simple, les entraîneurs français ont fait le pari de ne pas aligner Julia Simon ou Justine Braisaz - Bouchet, les têtes d'affiches de l'équipe de France féminin cette saison. Le choix de Lou Jeanmonnot s'est avéré payant puisque la Jurassienne a fait la différence sur le dernier relais face à Ingrid Tandrevlod, pourtant dossard jaune de la Coupe du Monde chez les Femmes. Un mano a mano France - Norvège Jusqu'au dernier tir, la France et la Norvège se sont tirées la bourre, sans réussir à prendre un réel avantage l'un sur l'autre, malgré un écart de 15 secondes à mi-course rapidement comblé par la rapidité à ski de Johannes Boe. Face aux cibles, la paire bleue a été étincelante. Aucune balle ne fut perdue sur les tirs couchés, seulement 3 sur les tirs debouts après un impressionnant 20/20 sur les 4 premiers tirs de la course. Sur une boucle de seulement 1,5 kilomètres, c'est sur le pas de tir que la décision s'est faite. Arrivées côte à côte sur le dernier passage derrière la carabine, Ingrid Tandrevold et Lou Jeanmonnot ont mené un combat de gladiateurs qui a tourné à l'avantage de la Française qui ne commis qu'une seule faute, contre 4 pour la Norvégienne qui dut faire un passage sur l'anneau de pénalité. Condamnée par ces 4 balles ratées, la Norvège s'est même vue dépassée par l'Italie de Lisa Vittozzi qui, tirant à 19/20, a surfé sur la vague de son titre en Individuel pour résister au retour de la Norvège dans le dernier tour.

  • Challenge Tour : Easton en tête à -9, Hébert juste derrière

    Ce jeudi 15 février, lors du 1er tour du Dimension Data Pro-Am, Bryce Easton a rendu la meilleure carte du jour avec un 63 (-9). Il devance de 2 coups le Français Benjamin Hébert, seul second à -7. Ce jeudi 15 février, pour le troisième tournoi de la saison sur le Challenge Tour, Bryce Easton prend les commandes dans ce 1er tour du Dimension Data Pro-Am. Le Sud-Africain, qui a démarré sur le trou numéro 10 du parcours d’Outeniqua, passe son aller en 33 (-3) avant de faire chauffer le putter sur sa fin de partie. Easton inscrit 7 birdies au retour contre un seul bogey pour rendre une carte finale de 63 (-9) : « J'ai réussi quelques bons coups et j'ai été très efficace sur les greens », explique-t-il. Il mène le tournoi avec 2 coups d’avance sur son premier poursuivant. Hébert, seul 2e Juste derrière Easton, on retrouve le Français Benjamin Hébert. Avec une belle carte de 65 (-7), le Briviste se positionne à seulement deux coups du Sud-Africain. De retour sur le Challenge Tour après avoir perdu son statut sur le DP World Tour en 2022, le golfeur de 36 ans cherche à remonter dans l’élite européenne. Un succès cette semaine, dans ce pays qu’il apprécie, pourrait lancer son année de la meilleure des manières : « J’adore venir en Afrique du Sud. Je viens ici depuis que je suis amateur et avec l’équipe de France on avait gagné ici en 2008. C’est un endroit que j’apprécie », exprime-t-il au micro du Challenge Tour. Il faudra confirmer cette belle entame demain pour le Français qui jouera sur The Links, un des 3 parcours de l’épreuve cette semaine.

  • Sacre de Johannes Boe et triplé norvégien dans un festival de balles ratées

    Un pas de tir capricieux a complètement chamboulé la course du championnat du Monde de la Poursuite à Nove Mesto. Relégué à la deuxième place à cause de 3 fautes sur les tirs couchés, Johannes Boe a su rectifier le tir sur le debout pour remporter un nouveau titre de champion, son 8e individuel. C'est dans la difficulté que l'on retrouve les champions. Sur la Poursuite des championnats du Monde de Nove Mesto, Johannes Boe a montré qu'il en était un grand, s'il avait encore besoin de le prouver. Parti en chasseur derrière Sturla Laegreid qui l'avait devancé pour 3 petites secondes sur le Sprint, le porteur du dossard jaune était en souffrance sur les tirs couchés. Une victoire conquise sur le debout Ressorti 5e à 41 secondes du leader de la course Vetle Christiansen, Johannes Boe a eu les épaules solides pour réaliser le sans fautes sur les deux tirs debouts malgré une pluie de fautes à ses côtés. Grâce à son 17/20, le Norvégien a pu caracoler seul en tête dans le dernier tour. Sur la piste comme derrière la carabine, ni les Suédois ni les Français n'ont été capable de rivaliser avec la puissance norvégienne. Un quintuplé impressionnant qui rappelle la suprématie totale de la Norvège chez les Messieurs en coupe du Monde. Accompagné dans le top 5 par Laegreid, Christiansen, Dale et Tarjei Boe, son frère, Johannes Boe décroche son premier titre de la quinzaine mondiale, probablement pas le dernier. Des erreurs propices aux remontées Face aux nombreuses balles manquées sur le pas de tir, les meilleurs tireurs du jour ont pu tirer leur épingle du jeu pour remonter au classement. Partis 18e et 26e, l'Italien Lukas Hofer, le Français Fabien Claude et l'Ukrainien Anton Dudchenko ont été les 3 seuls athlètes à obtenir le prisé 20/20 au tir. Une telle performance face aux cibles a permis au Vosgien de remonter 10e de la course, premier français à passer la ligne. Comme beaucoup, les tricolores ont souffert au tir, réalisant trop d'erreurs. Quentin Fillon-Maillet a lâché 6 balles à côté. Il explique ces difficultés par "la différence infime entre un bon tir et un tir moyen". Seule source de réjouissance, le travail des techniciens a encore une fois été excellent, "le tir nous pénalise beaucoup parce que sur les skis ont été très bien", explique également le Jurassien.

  • Kylian Mbappé a annoncé son départ aux dirigeants du PSG cet été

    Kylian Mbappé a annoncé son départ du PSG à son président Nasser Al-Khelaïfi à l’issue de la saison en cours. L’attaquant de l’équipe de France est libre de s’engager où il veut depuis le mois de janvier. Le feuilleton est (enfin) terminé. Après de longs mois d'incertitudes, Kylian Mbappé a annoncé aux dirigeants du PSG qu'il avait décidé de quitter le club cet été. L'attaquant a communiqué sa décision mardi au centre d'entraînement de Poissy. Le joueur aurait souhaité annoncer la nouvelle plus tôt à son président, mais celui-ci n'était pas disponible avant. Le champion du monde 2018 a fait part de l'assurance de son choix en demandant à Nasser al-Khelaïfi de ne pas faire de surenchère. De nombreuses portes s’ouvrent à Kylian Mbappé en Europe La star n'a pas annoncé de destination future à Paris. Plusieurs clubs sont sur les rangs, même si le Real Madrid fait figure de grand favori. Lors du mercato estival de 2023, le club espagnol avait tenté de recruter Kylian Mbappé, de nombreuses rumeurs l’envoient au Réal Madrid dès cet été. Si le Réal Madrid ne s’offre pas Kylian Mbappé, le français de 25 ans aura un plan B avec d’autres clubs européen comme Liverpool, Chelsea et AC Milan. Pendant le mercato estival de 2023, le club londonien Chelsea voulait la star du PSG mais sans succès.

  • Qu'attendre de David Gaudu en 2024 ?

    Le grimpeur français David Gaudu est sur le point d'opérer sa rentrée 2024, ce vendredi sur la Classique Var. Avec 2 Grands Tours au programme de sa saison, le leader de la Groupama - FDJ se doit de réussir à allier performance pure et résultats s'il veut conserver sa place de numéro 1 dans l'équipe, alors que la jeunesse française toque à sa porte. Oublier une fin d'année 2023 chaotique entre Covid, intoxication alimentaire et chutes, c'est la mission de David Gaudu s'il veut entamer de la meilleure des manières l'épisode 2024. Propulsé comme unique leader de l'équipe Groupama - FDJ par le déclin et le départ à la retraite de Thibaut Pinot, le Breton arbore un programme de course ambitieux qui débutera ce vendredi sur la Classique Var. Un ambitieux doublé Tour - Vuelta Ce sera une première en saison régulière pour lui. Après un doublé Tour de France - Vuelta pendant l'année Covid 2020 qui s'était conclu par une 8e place au général et 2 victoires d'étapes en Espagne, David Gaudu va retrouver les routes ibériques et leurs parcours accidentés qui correspondent fortement à ses qualités de puncheur - grimpeur. Ce sera l'occasion de rebondir en cas de Grande Boucle ratée en jouant offensivement pour des victoires d'étapes ou un classement général. La Vuelta ne proposant que 34 kilomètres de contre-la-montre, c'est une aubaine pour le Français, en difficulté dans l'exercice. Paris - Nice, premier objectif de la saison Avec seulement 5 jours de course de préparation sur la Classique Var et l'O Gran Camiño, David Gaudu va aborder son premier objectif de la saison, Paris - Nice avec le plein de fraicheur le 3 mars prochain. 2e de l'édition 2023, le coureur de la Groupama - FDJ aura à cœur de briller sur la course au Soleil qu'il affectionne particulièrement. Sans Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard qui se disputeront la victoire sur Tirreno - Adriatico, la porte sera ouverte pour un outsider. L'occasion de mettre fin à une disette de 17 ans sans victoire française sur une course par étapes World Tour sera plus présente que jamais. Des jeunes qui n'attendent qu'à prendre sa place La pression sera sur les épaules de David Gaudu au cours de cette saison qui pourrait être charnière pour son avenir et celui de son équipe, Groupama - FDJ. Si la place de leader pour les classement généraux lui semble attitrée cette saison, la montée en puissance des jeunes loups issus de l'équipe Continentale le force à performer s'il ne veut pas voir ce statut contesté. A 20 ans, le grimpeur français Lenny Martinez était devenu le plus jeune porteur du Maillot Rouge de leader de La Vuelta pour sa première saison chez les professionnels. Fils de Miguel Martinez et petit-fils de Mariano Martinez, tous deux anciens pros, le jeune Lenny est porté par l'histoire d'une famille ancrée dans le cyclisme, qui pourrait faire de lui le nouvel espoir français de succession à Bernard Hinault.

  • Une mi-temps a suffi pour le PSG face à la Real Sociedad (2-0)

    Qualifié en huitième de finale de justesse face à Dortmund en décembre dernier, le PSG se devait de montrer un autre visage que celui du miraculé. Mais face à la Real Sociedad, un adversaire de qualité qui exerce un pressing étouffant, le PSG aura eu énormément de difficultés à construire son jeu. Paris s’est fait peur d’entrée, 30 secondes de jeu et déjà une frappe de décrochée par la Real Sociedad et André Silva après un pressing efficace. Le décor est planté, les basques vont presser sans relâche. Tout au long de la première mi-temps, ils ont posé des problèmes au PSG dans la transition et sur les seconds ballons. Pendant les dix premières minutes les parisiens ont réussi à se sortir de cette pression et ont de leur côté effectué un pressing de qualité qui aboutira à un face à face de Mbappé arrêté par le gardien adverse (6e minute). C’est d’ailleurs la seule frappe cadrée de la première mi-temps. La Real Sociedad se montre dangereuse ensuite et parvient à investir le camp parisien comme par cette frappe de Kubo (16e), après s’être défait de Beraldo, qui viendra s’écraser dans le petit filet extérieur de la cage de Donnaruma. Le jeu est tout de même d’une qualité pauvre avec énormément de fautes techniques des deux côtés. Les parisiens sont freinés dans leurs relances tout au long de la première période par ce déchet technique et l’intensité défensive des visiteurs. Le premier acte se conclut sur une frappe à 20 mètres du milieu de terrain de la Sociedad, Merino, qui vient s’écraser sur la barre transversale, une grosse alerte pour les hommes de Luis Enrique. Un replacement tactique et un but qui changent tout Pas de changements d’hommes de la part du technicien espagnole du PSG, mais un replacement de Vitinha plus bas sur le terrain qui fera toute la différence. Le milieu portugais est donc repositionné en pointe basse devant la défense et prend en charge la relance de balle, qui était jusque-là catastrophique côté parisien. Le visage du PSG ne change pas du tout au tout mais il se montre beaucoup plus dangereux en attaque et parvient à trouver des décalages. Les consignes du coach semblent avoir été écoutées puisque les parisiens font beaucoup plus de passes transversales pour orienter le jeu de droite à gauche et déplacer le bloc basque qui se déplace comme un seul homme. A la 57e minute de jeu, après un premier corner, les parisiens en obtiennent un autre et c’est Marquinhos qui est visé à l’entrée de la surface mais il manque sa tête. Cependant, comme un miracle, la balle se dirige au second poteau où se trouve Mbappé complètement esseulé qui envoie la balle au fond des filets au nez et à la barbe du goal adverse. Le match est complètement relancé pour cette équipe parisienne qui ne s’était pas montrée particulièrement dangereuse. Ce but change complètement le visage du PSG qui reprend un pressing intense et efficace, et qui met clairement la main sur le ballon. Cela se concrétise par une frappe des 15 mètres de la part de Mbappé qui viendra s’écraser sur la barre du gardien basque, après une récupération haute de Zaïre-Emery. Les parisiens se mettent ensuite définitivement à l’abri à la 67e minute avec ce but splendide de Barcola. A l’origine de l’action, Dembelé reçoit le ballon dos au but dans son camp avec un défenseur qui exerce un pressing intense. Il parvient à se défaire de son marquage pour décaler le jeu vers Ruiz qui sollicitera à son tour Barcola dans la profondeur. Ce dernier élimine magnifiquement son défenseur avant de tromper le gardien, 2-0 pour le PSG, le break est fait. La suite du match est beaucoup moins exaltante, les joueurs de la capitale maitrisent toujours autant le ballon tandis que le pressing adverse est beaucoup moins intense et que la fatigue se fait ressentir. Dans les dix dernières minutes, les parisiens se relâchent et les basques en profitent pour mener leurs dernières offensives mais rien de vraiment très dangereux. Dans un match où il n’aura joué qu’une mi-temps, le PSG s’en sort très bien et prend une option sur la qualification.

  • La Lazio de Rome renverse un Bayern en manque de réalisme (LAZ 1-0 BAY)

    Après la défaite 3-0 essuyée face à Leverkusen, rien ne va plus pour le Bayern de Munich. Au Stadio Olimpico, la Lazio de Rome a profité du manque total de créativité et de réalisme des Bavarois pour s'imposer 1 but à 0 dans ce huitième de finale aller de Ligue des Champions. Les Munichois devront se lancer dans une opération remontée à domicile le 5 mars prochain. Pour gagner un match de football, il faut savoir marquer. Simple affaire peut on penser, mais ce n'est plus le cas pour un Bayern de Munich en difficulté en Bundesliga comme en Ligue des Champions. Face à la Lazio, l'undécuple champion d'Allemagne en titre n'a pas trouvé la solution à son manque de réalisme, payant son incapacité à marquer par une nouvelle défaite. Dans un match très fermé, aucune des deux équipes n'a réussi à prendre le dessus dans le jeu. À la 67e minute de jeu, le match a pris une tournure toute autre. Seul sur le bord droit de la surface de réparation, l'ailier de Rome Gustav Isaksen a vu sa cheville écrasée par la semelle de Dayot Upamecano. Écopant d'un carton rouge, le défenseur central français a offert l'opportunité d'ouvrir le score à Ciro Immobile sur penalty. Le capitaine romain ne s'est pas fait prier deux fois. Toujours aussi bas après avoir pris les devants au score, les Romains à domicile ont fait du Stadio Olimpico une forteresse imprenable, surtout à 10 contre 11 pour les joueurs du Bayern qui n'ont pas manqué de combativité en fin de match. La toile défensive romaine Bien qu'elle accueille un Bayern de Munich malade dans son antre, la Lazio de Rome n'a pas hésité à subir énormément dans ce huitième de finale, forçant les Bavarois à se découvrir. Avec une arrière-garde exemplaire passant à 5 avec la descente d'un cran du milieu Danilo Cataldi sur les phases défensives, les locaux ont réussi à annihiler le peu d'actions dangereuses de leurs adversaires, en manque de solution, qui ont tout tenté, en profondeur, sur les ailes ou dans l'axe sans succès. Allant jusqu'à défendre à 10 dans sa propre surface, la Lazio n'a pas eu peur de laisser le ballon aux visiteurs, remontant ensuite le ballon de l'arrière à la relance et se regroupant avec discipline à la perte. Un manque criant d'idées pour le Bayern 62 % de possession de balle, 17 tirs tentés et aucun cadrés, la statistique est effrayante mais elle reflète les difficultés rencontrées par le Bayern de Munich depuis quelques jours. Ce mercredi soir de Ligue des Champions au Stadio Olimpico, les solutions étaient inexistantes côté bavarois, l'expulsion d'Upamecano à la 67e minute ne facilitant pas les choses. Avec un jeu de passe timide, tentant de contourner le bloc compact des romains, le Bayern a payé son manque de prise de risque, l'absence d'un grain de folie quelques fois incarné par Jamal Musiala, seul joueur mobile sur son côté gauche. Si l'équipe de Thomas Tuchel espère renverser la tendance à domicile le 5 mars prochain, un réveil offensif s'impose. Celui-ci passera dès ce week-end par un carton obligatoire face à Bochum, 14e du championnat allemand.

  • L'ogre Boe ne s'arrête plus

    Nouvellement titré champion du Monde de l'Invididuel, Johannes Boe n'a pas laissé flotter le moindre suspense en écrasant complètement la course sur les skis. Remportant la 19e médaille d'or de sa carrière, la 9e en individuel, le dossard jaune semble lancé vers une razzia jusqu'à la fin de ces Mondiaux. Quand la machine est lancée, plus rien ni personne ne peut l'arrêter. Enchaînant avec l'Individuel après un énième titre de champion du Monde sur la Poursuite, Johannes Boe ne cesse plus de gagner et semble en pleine confiance, à l'image même de sa saison. Commençant difficilement la saison 2023-2024 à Östersund, le Norvégien était monté en puissance jusqu'à revêtir le dossard jaune qu'en Décembre au cours de la 3e manche à Lenzerheide. Inarrêtable depuis, Johannes Boe écrase tout sur son passage malgré un départ manque sur le relais Mixte. En tirant aujourd'hui à 19/20, le leader norvégien s'est assuré la victoire. Un seul athlète a aujourd'hui connu le bonheur du sans faute : le Coréen Aleksandr Serodubets, 35e à l'arrivée. Déroulant comme à son habitude sur les skis, Johannes Boe a complètement pulvérisé ses adversaires, reléguant son propre frère 2e à 58.9 secondes et le 3e, Benedikt Doll, à 1 minute et 53 secondes malgré leurs 19/20. Sur la mass start, dimanche, le premier du classement général concourra pour son 10e titre de champion du Monde en Individuel, un seul de moins que la légende française Martin Fourcade, ainsi que sa 20e au total sur les relais : Monumental.

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