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  • La première étape de la Vuelta a Andalucia annulée à cause des agriculteurs

    La première journée de course du Tour d'Andalousie n'aura pas lieu ce mercredi 14 février. Le directeur général de la course Joaquin Cuevas a annoncé la nouvelle ce matin à 11 heures, mettant en cause le manque de policiers de la Guardia CIvil, mobilisés par les manifestations des agriculteurs. Il faudra attendre un jour de plus pour voir les participants à la Ruta del Sol parcourir les routes andalouses. 2 semaines après l'annulation de la première étape de l'Étoile de Bessèges, c'est dans le sud de l'Espagne que les agriculteurs sévissent et empêchent le bon déroulement des courses de début de saison. "La raison de la suspension est le manque de couverture, le manque de membres de la Guardia Civil" a annoncé, forcément déçu, le directeur général de la course Joaquin Cuevas quelques dizaines de minutes avant le départ fictif de la course. Les protestations des agriculteurs mobilisent fortement les autorités, comme partout en Europe, ce qui ne leur permet pas de "garantir le passage de la course dans les zones concernées", explique également la direction de course. Une semaine de course tronquée En ouverture de la course, le peloton devait à l'origine partir de Almuñécar pour rejoindre Cádiar sur un terrain accidenté qui aurait donné offert à la course une entrée en matière corsée avec une montée finale de 3,3 kilomètres à 7,6% de moyenne seulement 1 kilomètre avant l'arrivée de l'étape. Avec les étapes les plus difficiles concentrées sur les premiers jours de course, la course pour le classement général se voit forcément impactée par cette annulation. Les meilleurs grimpeurs à l'affiche Juan Ayuso et Santiago Buitrago devront faire la différence dès demain en direction de Alcaudete (8.5km à 3.5 % de pente moyenne) pour distancer les hommes rapides qui risquent de faire le plein de secondes de bonification en fin de semaine. La suite de la course reste tout de même incertaine. Joaquin Cuevas a également confié au micro des médias locaux "voir avec le comité technique et les équipes ce qui se passera dans les prochains jours".

  • Transferts, prolongations, rumeurs : ça bouge en Top 14 !

    Alors que la phase aller du Top 14 vient juste de se terminer et que nous sommes en plein Tournoi des Six Nations, des transferts, prolongations et rumeurs apparaissent. Faisons le tour des dernières informations dont nous disposons. Le chassé-croisé Tolofua-Garbisi Alors que Christopher Tolofua a vu son petit frère Selevasio le rejoindre cet été sur la rade de Toulon, leur association ne va pas durer. L’aîné de la fratrie quitte avec effet immédiat le RCT pour rejoindre Montpellier. Le talonneur évoque sur son compte Instagram des « négociations contractuelles complexes » sans « qu’aucune proposition de prolongation n’[ait] été présenté ». Paolo Garbisi fait le chemin inverse. Le joueur, actuellement avec sa sélection pour le Six Nations, devrait lui aussi changer de club avec effet immédiat. Direction donc Toulon pour l’italien de 23 ans (33 sélections) qui apportera sa polyvalence, ouvreur-centre, dans une équipe qui en a besoin. Il vient aussi peut être mettre la pression à Dan Biggar dont les performances sont décevantes depuis son arrivée. Sa visite médicale sur la rade est prévue dès ce jeudi 15 février. Aldritt et Bielle-Biarrey : ça reste ! D’après RMC Sport et L’Equipe, Grégory Aldritt devrait prolonger à La Rochelle. Sous contrat jusqu’en 2026, il va poursuivre l’aventure jusqu’en 2029 avec les maritimes. Aldritt est élément essentiel pour les rochelais et son absence en début de saison s’est faite remarquer au niveau des résultats. Il est également un joueur indispensable au sein du XV de France dont il a été désigné capitaine par Fabien Galthié pour ce Six Nations. De son côté, c’est officiel pour la prolongation de Louis Bielle-Biarrey à l'UBB. Le club girondin a officialisé l’information ce lundi 12 février pour une prolongation qui s’étend jusqu’en 2027. L’aventure continue avec son club pour le prodige de Bègles, révélation de la dernière Coupe du monde. Haouas déjà de retour à Montpellier ? C’est l’information chaude de ces derniers jours. Mohamed Haouas, embourbé dans une histoire de violences conjugales pour laquelle il a été reconnu coupable, avait vu son transfert de Montpellier vers Clermont avorté l’été dernier. Biarritz l’avait alors repêché pour une saison, et une autre en option. L’aventure biarrote ne durera puisque d’après L’Equipe et Midi Libre, il devrait faire son retour à Montpellier dès cet été où il y avait évolué de 2016 à 2023. Un contrat d’une année l’attend.

  • ATP 500 de Rotterdam : Humbert tombe d’entrée, Monfils s’en sort

    Ce mercredi 14 février, Ugo Humbert s’est incliné face à Emil Ruusuvuori au 1er tour du tournoi de Rotterdam (7-6, 4-6, 6-3). Dans le même temps, Monfils est parvenu à se défaire de Denis Shapovalov (7-6, 7-6). Quelques jours après son succès à Marseille, Ugo Humbert n’a pas réussi à continuer sur sa lancée. Il perd sur le score de 7-6, 4-6, 6-3 face au Finlandais Ruusuvuori dans un match accroché. Après avoir perdu le 1er set au tiebreak, le Français s’est rapidement remis en scelle pour recoller à une manche partout. Mais lors du 3e set, Humbert a totalement craqué alors qu’il possédait un break d’avance et s’incline au 1er tour de cet ATP 500. Son adversaire retrouvera l’Allemand Jan-Lennard Struff, tombeur de Davidovich Fokina, au second tour. Monfils, seul rescapé Parmi les deux joueurs tricolores présent cette semaine, seul Gaël Monfils se hisse au tour suivant. Dans un match très compliqué face au talentueux Canadien Shapovalov, « La Monf’ » l’emporte 7-6, 7-6. Lors des deux manches de cette rencontre, aucun joueur n’est parvenu à faire de break et le Français a donc dû s’employer pour gagner ces deux tiebreaks. Qualifié pour la suite de la compétition, Monfils affrontera soit le local Botic Van De Zandschulp, soit le récent vainqueur de l’Open d’Australie Jannik Sinner, tête de série numéro 1.

  • Open de Montpellier : frustré par un spectateur, Benoît Paire passe à la trappe

    Ce mercredi 31 janvier, lors du deuxième tour de l’Open de Montpellier, Benoît Paire s’est embrouillé avec un spectateur au début de la rencontre. L’Avignonnais s’est fait sortir par Harold Mayot au terme d’un match à sens unique (6-1, 6-4). Dans la continuité de sa première victoire sur le circuit principal ce lundi face à Andy Murray, Benoît Paire n’a pas réussi à continuer sur sa lancée. Après un très mauvais début de match (perdant 8 des 9 premiers jeux), l’ancien 18e mondial n’a jamais su trouver les armes face au jeune Harold Mayot. Il s’est malgré tout ressaisi dans le deuxième set. En obtenant une balle de débreak à 2-3, il s’est offert une petite chance pour revenir au score. Malheureusement, il n’est pas parvenu à la concrétiser. Benoît Paire s'incline donc 6-1, 6-4 dans ce second tour à Montpellier. Ce résultat donne tout de même de l’espoir à un joueur qui semblait perdu ces derniers mois : « Cela faisait longtemps que je n’avais pas joué à ce niveau », explique-t-il au journal Lequipe, faisant référence à son premier tour gagné face au Britannique Murray. Une performance encourageante pour Paire, lui qui a passé les deux dernières années à jouer sur le circuit challenger, la deuxième division du tennis mondial. Un spectateur dérangeant Eliminé du tournoi, Benoît Paire a pointé du doigt les agissements d’une personne se trouvant dans les tribunes. Le tricolore dénonce des propos menaçants qu’il a entendu alors que le match venait à peine de débuter : « Je t’attends à la fin », annonce-t-il. Selon lui, ce spectateur « était en train de parier et des personnes comme ça n’ont rien à faire dans un stade ». Malgré tout, le triple vainqueur sur le circuit ATP n’a pas cherché à trouver des excuses pour justifier sa défaite : « Ça fait partie du jeu et ce n’est pas ce qui m’a fait perdre le match », exprime-t-il. Au prochain tour, le Français Harold Mayot retrouvera le vainqueur du choc de ce jeudi 1er février. Celui-ci oppose le jeune espoir Arthur Cazaux, huitième de finaliste à l’Open d’Australie, à Félix Auger-Aliassime, tête de série numéro 3 du tournoi.

  • Ouf de soulagement pour le Real Madrid qui l'emporte face à Leipzig (RBL 0-1 RMA)

    Dans un match tendu qui fait déjà polémique, les joueurs de Carlo Ancelotti ont remporté sur le fil le match aller de leur huitième de finale de Ligue des Champions 1 but à 0 face au RB Leipzig. Sans son maître à jouer Jude Bellingham, la sanction aurait pu être lourde pour le Real Madrid qui aurait pu, avec une interprétation différent de l'arbitre, subir l'ouverture du score dès la 2e minute. La Maison Blanche a plié mais pas rompu dans la Red Bull Arena de Leipzig ce mardi soir. C'est avec une équipe criblée par les blessés que le Real Madrid a abordé son huitième de final aller. Sans Eder Militao, David Alaba, Antonio Rüdiger ou Jude Bellingham, le coach des merengues Carlo Ancelotti a été forcé de faire appel aux doublures et remplaçants de fortune pour aborder cette phase finale de Ligue des Champions. Malgré un nombre conséquent d'absents, le Real Madrid a fait honneur à son statut en remportant le match 1 but à 0 avec un réalisme remarquable. Les doublures ont fait le show Pour les madrilènes, les héros du soir se nomment Lunin, Tchouaméni et Brahim Diaz. Dans une équipe remaniée défensivement, l'Ukrainien et le Français ont réussi à garder le Real Madrid en vie avec de nombreux arrêts signés Andriy Lunin et une gestion en patron de l'arrière-garde par Aurélien Tchouaméni. Le milieu de terrain de formation s'est même amusé après le match "ne le dites pas au coach (Didier Deschamps), il regarde les matchs". La défense tenant bon, c'est un énorme Brahim Diaz qui a endossé le rôle lourd de remplacr Jude Bellingham à la création. Grâce à un but étincelant à la 48ème minute de jeu, l'Espagnol a rendu hommage à la nouvelle star du Real en imitant sa célébration. Revenu de son prêt à l'AC Milan cet été, Brahim Diaz se place comme le nouveau "super-sub" de la Maison Blanche cette saison. La polémique de la soirée : pourquoi le but allemand a été refusé ? Il n'aura fallu que 1 minute 40 pour voir les filets trembler pour la première fois. Sur un centre de Xaver Schlager, l’attaquant slovène Benjamin Sesko pensait ouvrir le score pour Leipzig. Couvert par Rodrygo dans la surface, ce fut avec stupéfaction pour tout le monde : spectateurs, joueurs et commentateurs, que le but fut refuse pour un hors jeu. Cette décision a fait couler de l'encre et fait beaucoup débattre mais elle dépend en réalité de l'interprétation personnelle de l'arbitre. Sur l'action, le milieu de terrain allemand Benjamin Henrichs a été considéré comme faisant action de jeu en gênant Andriy Lunin dans sa course pour revenir dans son but. Placé derrière le dernier madrilène, le joueur de Leipzig a été ainsi considéré comme hors-jeu, un choix discutable mais respectueux des règles d'arbitrage puisque le portier du Real Madrid n'aurait pas été capable d'empêcher ce but vu son positionnement.

  • Phoenix Open : Victor Perez passe à la trappe

    Victor Perez a manqué le cut du Waste Management Phoenix Open ce samedi 10 février 2024. Auteur de cartes de 74 (+3) et de 69 (-2), le golfeur Français de 31 ans n’a jamais réussi à prendre la mesure des greens tortueux du TPC Scottsdale. Ce n’est pas le début de saison qu’espérait Victor Perez sur le PGA Tour. En manque de repères après une blessure à l’épaule cet hiver, le Tarbais n’a toujours pas marqué le moindre point à la FedExCup après ses deux cuts manqués. A l'inverse de son compatriote Matthieu Pavon, le 90e joueur mondial ne semble pas encore s'être habitué totalement à sa nouvelle vie aux Etats-Unis. Ce samedi, il lui fallait réaliser un score très bas pour avoir la chance de jouer les 36 derniers trous du Waste Management Phoenix Open 2024. Malgré un sursaut dans cette deuxième journée, le Français paye cher son mauvais premier tour. Avec une carte de 69 (-2), le vainqueur du Rolex Series à Abu Dhabi en janvier 2023 manque le cut de trois coups et finit à +1 total. L’américain Sahith Theegala a pris la tête du tournoi à -13 total, un coup devant Andrew Novak et Nick Taylor. Un manque d’efficacité au putting Avec des statistiques très moyennes autour des greens, Victor Perez va devoir améliorer son niveau de jeu s’il veut jouer les premiers rôles lors de ses prochains tournois. En deux jours, le Français a perdu plus de 3 coups par rapport au champ de joueur avec le putter, un handicap de taille quand on connaît l’importance de ce secteur de jeu pour performer au haut niveau. Accompagné par son compatriote Paul Barjon, le triple vainqueur sur le DP World Tour Victor Perez devra se ressaisir dans deux semaines au Mexique pour son prochain tournoi.

  • Matthieu Pavon : à la conquête de l’Amérique

    A 31 ans, le golfeur Français Matthieu Pavon est devenu le premier français de l’ère moderne à remporter un tournoi du PGA Tour. En tête de la FedExCup, le Bordelais fait désormais partie des meilleurs joueurs du monde et peut rêver encore plus grand. Depuis la fin d’année 2023, Matthieu Pavon a pris une tout autre dimension. Le vainqueur de l’Open d’Espagne en octobre dernier connaît actuellement la meilleure période de sa carrière. Pour sa première saison sur le circuit américain (PGA Tour), le Bordelais impressionne le monde entier grâce à ses résultats flamboyants. Après sa 7e place à Hawaii pour inaugurer son année, Pavon arrive à Torrey Pines en Californie pour disputer le Farmers Insurance Open avec le plein de confiance. En ce samedi 27 janvier que Matthieu Pavon s'apprête à écrire une nouvelle page de l'histoire du golf Français. Au terme d'un quatrième tour complètement fou, il s'impose avec un coup d'avance sur le danois Nicolai Hojgaard et devient le premier golfeur Français de l’ère moderne à gagner sur le PGA Tour. Cet exploit historique, le joueur tricolore le doit en partie à la maîtrise de ses émotions lors de cette journée : « J'ai essayé de rester dans le moment présent. J'ai toujours des notes avec moi pour les lire sur le parcours : jouer chaque coup après l'autre, manger, boire, veiller à ce que tout soit sous contrôle et donner le maximum. C'est tout ce que je peux faire », a-t-il déclaré au journal Lequipe. Un succès qui lui ouvre des portes Grâce à cette victoire, Matthieu Pavon se qualifie pour l’AT&T Pebble Beach Pro-am, le 2e Signature Event de l’année. Alors que la plupart des joueurs se seraient relâchés après une telle avoir gagné la semaine précédente, le Français décide lui de mettre le pied sur l’accélérateur. Dans une compétition perturbée par la tempête, le numéro un Français termine à la 3e place et devient le premier Français de l’histoire à se hisser en tête de la FedExCup. Il revient sur les raisons de sa progression et de son ascension fulgurante : « J’ai confiance en moi et en mon jeu et je pense que c’est la clé pour performer », explique-t-il au micro du PGA Tour. Ces résultats récents offrent la possibilité au fils de Michel Pavon, ancien capitaine des Girondins de Bordeaux, de disputer tous les plus gros tournois de l’année. Il découvrira notamment le prestigieux parcours d'Augusta National en avril pour le Masters Tournament. Le nouveau 26e joueur mondial peut désormais rêver encore plus grand et pourquoi pas devenir le 2e Français de l’histoire, après Arnaud Massy, à remporter un tournoi du grand chelem : « Il est temps de rêver d’un majeur ! », conclut-il.

  • Qatar Masters : Hoshino s’impose devant Ugo Coussaud

    Ce dimanche 11 février, Rikuya Hoshino remporte le Qatar Masters avec un score total de -14. Auteur d’une carte de 68 (-4), il devance d’un coup le Français Ugo Coussaud qui finit seul 2e. Les performances de Matthieu Pavon sur le PGA Tour semblent donner un nouveau souffle au golf français. Cette semaine, au Qatar Masters, un nouveau Français s’est illustré en réalisant une très belle performance. Après être passé tout proche de l’emporter, le golfeur tricolore Ugo Coussaud se classe 2e au terme du dernier tour. Il finit un seul coup derrière Rikuya Hoshino. Efficace au putting toute la semaine, le Japonais gagne son 1er tournoi en carrière sur le DP World Tour et passe à la 2e place de la Race to Dubaï. Une carte assurée pour 2025 Grâce à cette performance remarquable, Ugo Coussaud est d’ores et déjà assuré de garder sa carte sur le Tour. A 31 ans, il peut se tourner vers l’avenir sereinement en sachant que sa place est acquise sur ce circuit jusqu’à la fin de l’année 2025. Il ne jouera pas dans deux semaines au Kenya et fera donc très probablement son retour en Afrique du Sud du 29 février au 3 mars. Le prochain objectif du Français sera de gagner son premier trophée sur le DP World Tour.

  • « Sun Day Red » : la nouvelle marque de Tiger Woods

    Ce lundi 12 février, Tiger Woods a officialisé le lancement de sa marque « Sun Day Red ». De retour sur les fairways cette semaine au Genesis Invitational, il portera pour la première fois les vêtements de sa propre enseigne en compétition. Plus d’un mois après la fin de son partenariat avec Nike, Tiger Woods lance sa nouvelle marque de textile qui sortira officiellement aux Etats-Unis le 1er mai 2024. La légende du golf a décidé de la nommer « Sun Day Red » en référence à sa tenue et à son fameux polo rouge du dimanche. A travers les années, le joueur Américain est notamment devenu célèbre grâce à cet accoutrement légendaire qu’il tient de sa mère : « Ma mère pensait qu’étant né sous le signe du Capricorne, ma couleur devrait être le rouge. J’ai joué en rouge lors de mes premiers tournois juniors. […] Puis, à chaque tournoi auquel j’ai joué en tant que professionnel, j’ai porté du rouge. C’est devenu ma couleur », a-t-il expliqué lors du lancement de sa marque à Los Angeles. De retour à la compétition Tiger Woods sera de nouveau présent sur le PGA Tour cette semaine du 15 au 18 février pour le Genesis Invitational. Organisateur du tournoi depuis plusieurs années, le vainqueur de 15 tournois majeurs ne portera plus les habits de la marque Nike, une première dans sa carrière. Tous les yeux seront rivés sur l’un des plus grands joueurs de tous les temps et les spectateurs pourront voir le Tigre à l’œuvre dans son nouvel habillage. Woods tentera de remporter son 83e trophée sur le Tour et ainsi devenir le joueur le plus titré de l’histoire.

  • Phoenix Open : Nick Taylor s’impose au bout du suspense

    Ce dimanche 11 février, le Canadien Nick Taylor a remporté le Waste Management Phoenix Open en Arizona. Charley Hoffman, à 47 ans est passé tout proche mais s’est incliné en play-off. En cette journée de Super Bowl, le dernier tour du Waste Management Phoenix Open s’est conclu dans une ambiance électrique. Après un dernier tour en 65 (-7), Nick Taylor a battu l’Américain Charley Hoffman en play-off. Co-leader à l’entame de la journée, le Canadien a tenu bon face aux assauts de ses adversaires pour remporter son 4e tournoi sur le PGA Tour. Grâce à cette victoire, le joueur de 35 ans passe à la 6e place de la FedExCup et devient 28e joueur mondial. Le numéro 1 mondial Scottie Scheffler était également dans le coup pour la victoire mais il n’a pas réussi à remporter ce tournoi pour la 3e fois d’affilé. Charley Hoffman, la belle histoire A 47 ans, Charley Hoffman a bien failli l’emporter dans ce tournoi qui lui tient à cœur. Le local de l’étape possédait trois coups d’avance alors qu’il ne restait que quelques trous au Canadien. Malheureusement pour l’Américain, Nick Taylor a enchaîné les birdies pour l’égaliser en tête avant de prendre le dessus en play-off. Hoffman termine donc seul 2e du tournoi et passe au 25e rang du classement du circuit américain. Cela reste tout de même une performance remarquable pour un joueur qui n’était plus au top de sa forme ces dernières années.

  • Waste Management Phoenix Open : les débordements de trop ?

    Ce dimanche 11 février, le Phoenix Open s’est conclu par la victoire en play-off de Nick Taylor. Dans ce tournoi réputé pour son ambiance électrique, certaines personnes, y compris des joueurs, ont vivement critiqué l’attitude des fans sur place. A cause de ces comportements déplacés, certains imaginent même que les meilleurs mondiaux ne reviendront pas disputer les prochaines éditions. Des spectateurs complètement ivres, des hurlements pendant les coups des joueurs ou encore des dérapages en tribunes : c’est à cela que le Waste Management Phoenix Open a ressemblé cette semaine en Arizona. Alors que les agissements du public ont révolté les véritables assidus de golf, la victoire du Canadien Nick Taylor est clairement passé au second plan. A certains moments, cela ressemblait plus à un spectacle qu’à un tournoi de golf. Du 8 au 11 février, lors de cette épreuve du PGA Tour, de nombreux joueurs ont été gênés pour jouer et d’autres ont même été insultés par des fans. Des dérapages hors de contrôle Parmi les golfeurs professionnels présents cette semaine, certains en ont eu marre des agissements des spectateurs sur place. C’est notamment le cas de Billy Horschel, 88e joueur mondial : « On essaie de jouer au golf ici. C’est notre pu**** de boulot alors taisez-vous ! », lance-t-il à des gens qui ont crié pendant que son partenaire de jeu, Nicolo Galletti, était en train de taper sa balle. Mais il n’était pas le seul. Le capitaine de la dernière Ryder Cup, Zach Johnson, s’est fait insulter après avoir raté un coup. Enervé, le double vainqueur de majeur est allé recadrer ces personnes visiblement ivres : « Fermez-la ! », leur a-t-il dit. Sur X, de nombreuses vidéos de fans en roue libre ont circulé et font réagir les internautes sur les limites à ne pas franchir pour un tournoi de golf. Pour tenter de calmer les personnes présentes sur le site de la compétition, l’organisation du tournoi s’est vue forcée de suspendre la vente d’alcool. Certains joueurs pourraient ne pas revenir l’année prochaine Bien que personne n’ait officiellement déclaré ne pas vouloir revenir disputer le Waste Management Phoenix Open en 2025, les meilleurs joueurs du monde n’auront probablement pas envie de vivre ces dérapages encore une fois. Ce serait un gros coup dur pour l’organisation de l’épreuve, dont le sponsor titre pourrait les lâcher si les têtes d’affiche ne sont pas au rendez-vous d’ici un an. Il faudra donc trouver rapidement les meilleures solutions pour éviter que ce genre de problème se reproduise dans l’avenir.

  • Genesis Invitational : les stars au rendez-vous

    Cette semaine, du 15 au 18 février, Tiger Woods fait son grand retour à la compétition à l’occasion du Genesis Invitational près de Los Angeles. Pour ce 3e Signature Event de l’année sur le PGA Tour, les meilleurs joueurs mondiaux sont au rendez-vous et de belles parties sont à suivre. Après avoir dévoilé la date de lancement de sa marque de vêtement « Sun Day Red », Tiger Woods va disputer son 1er tournoi de l’année sur le PGA Tour. Il tentera de remporter son 83e tournoi sur le circuit américain lors de ce Signature Event (champ réduit et forte dotation) en Californie. D’autres stars seront présentes comme le numéro un mondial Scottie Scheffler, qui sort d’une 3e place à Phoenix le week-end dernier, ou encore le Nord-Irlandais Rory McIlroy. Voici les horaires de départ (heure française) des principaux joueurs à suivre lors du 1er tour, le jeudi 15 février : 18h01 : Nick Taylor/ Viktor Hovland/ Sam Burns 18h13 : Tom Kim/ Patrick Cantlay/ Jordan Spieth 18h25 : Justin Thomas/ Tiger Woods/ Gary Woodland 20h30 : Sahith Theegala/ Xander Schauffele/ Tommy Fleetwood 20h42 : Collin Morikawa/ Matt Fitzpatrick/ Scottie Scheffler 20h54 : Wyndham Clark/ Rory McIlroy/ Max Homa Aucun Français au départ cette semaine Alors que Matthieu Pavon réalise un début d’année exceptionnel, il ne sera pas présent dans les comtés de Los Angeles du 15 au 18 février sur le parcours de Riviera. Pourtant qualifié pour le tournoi après sa victoire, le Français a décidé de se reposer pour revenir avec de l’énergie : « Je me suis aussi retiré du Genesis. Je veux avoir une semaine pleine avec ma famille, recharger les batteries, bénéficier de 15 jours pour pouvoir m’entraîner à la fois physiquement et techniquement. Il y a tellement de belles échéances à venir, ça ne sert à rien de courir après les points. Je pense que j’aurais assez de beaux tournois à disputer cette année, et d’autant plus l’année prochaine », a-t-il déclaré dans une interview en live sur Instagram avec la Fédération Française de Golf. Les deux autres Français membres du PGA Tour, Victor Perez et Paul Barjon, ne sont eux pas qualifiés pour le tournoi.

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